Анали Правног факултета у Београду

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СВЕТОЗАР МАРКОВИН И КРИТИКА БИРОКРАТИЈЕ

les milieux qui sont au point de vue historique, économique et culturel entièrement différents. Selon l’auteur, la critique de la bureaucratie de Marfeovié, précisément de ceux qui vivent aux dépens du peuple travailleur des paysans, est triple et elle se rapporte à la critique de la monarchie, du parti libéral et de la bureaucratie même. Quoiqu’il lui reconnaisse la nécessité Iristorique, Markovié est un adversaire résolu de la monarchie. Il rattache son existence à la perte de la liberté, au renforcement de l’Etat, de la bureaucratie et de l’idéologie panserbe. Le souverain est la phase finale du pouvoir de chef, car le développement historique a formé trois types de chef (»Leader«, maître et souverain). Par la consolidation du pouvoir du monarque le désir s’est manifesté d’élargir les frontières. L’idée du panserbisme, seon Markovié, représente un aspect qui tend à idéaliser l’appétit pour lesterritoires d'autrui. Sur cette ligne se sont rencontré les représentants conservateurs des courants monarchistes et du parti libéral. L'auteur conclut à la fin que Markovié est, par rapport à la critique de Marx de la bureaucratie, en tant que catégorie sociale abstraite, plus direct, car c'est le problème pratique, direct, qui l’intéressait, de l’existence de la couche dans la situation socio-économique et politique donnée. La seule possibilité d'éliminer la bureaucratie se trouve dans l’action directe du peuple, dans le renversement du système.