Годишњак Астрономске опсерваторије Универзитета у Београду
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Or, il est facile à voir que la première imperfection est susceptible de soulever quelques difficultés au début des observations.
|| suffit, en effet, de différentier la formule fondamentale
COSz — sin à sin y + cos à cos y cost en supposant dy —0, condition relativemant bien satisfaite dans le cas actuel, pour avoir la relation dz I5cos psin A À étant l'azimut compté de 0° à 360° à partir du Nord vers l'Est.
Ceci nous donne une idée de l'incertitude dans l’identification de certaines étoiles au voisinage du méridien que peut entrainer une erreur dz dans l'angle du prisme.
Quant à l'obliquité de l’arête du prisme par rapport au vertical de l'astre, elle fut révélée par les mesures directes et un examen général des propriétés du prisme par les méthodes usitées en physique. Cette erreur, néanmoins, demeure aux environs de la limite fixée pour la constance de la hauteur observée, de sorte qu'aucune correction supplémentaire n'est nécessaire dans les calculs de réduction.
Au point de vue de la stabilité de l'instrument, on n'aurait rien à craindre si seulement on avait donné à son axe vertical une hauteur moins grande.
L'éclairage du champ à l’aide d'une lampe électrique de poche, montée sur un levier mobile, n'offre pas pour l'observateur la commodité et l'efficacité désirées.
Mais, comme les plus importants, il faut signaler deux défauts, à savoir:
1. l'horizon artificiel à mercure, et
2. le réglage de la perpendicularité à l'axe optique de la face du prisme tournée
vers l'objectif.
Le premier tient de ce que la cuvette amalgamée de l'horizon à mercure accuse une flèche trop grande au centre de la capsule. Il en résulte par conséquent que le bain de mercure, au lieu d'être formé d'une couche mince, contient une trop grande quantité de mercure. De sorte que, tout en étant bien protégé contre le vent, au moyen d'un abri métallique parfait, la surface du bain est d'une sensibilité extraordinaire et très gênante pour les observations. Aussi, une cuvette mieux appropriée à cet effet dut-elle être substituée à celle fournie, avec l'instrument, par le constructeur.
De même, le réglage par l’autocollimation de la perpendicularité à l'axe optique de la face du prisme tournée vers l'objectif est d'une réalisation très difficile et peu commode.
Le dispositif déstiné à ce réglage comprend un cadre métallique portant par son milieu une petite lame de verre rectangulaire à faces planes-parallèles. L'operation elle-même consiste à fixer le cadre devant l'ouverture de l’oculaire puis, en donnant à la lame de verre une inclinaison convenable, éclairer les fils du réticule par la lumière réiléchie sur la lame d’une lampe, placée latéralement près de l'oculaire. Le champ étant illuminé en même temps, les fils du rétucile et leurs images réfléchies sur la face du prisme peuvent ainsi être amenées en coïncidence, - |
Mais, comme il vient d'être dit plus haut, cette opération est d’une réalisation des plus fastidieuses.
dz — cos w sin À dt ou dt —
Préparation et mode d'observations — Ayant admis pour la latitude et l'angle du prisme les valeurs Ф = 447. 49' тезр. 2 = 307. 0'. 30" comme étant assez approchées, on a construit une table d'angles horaires et d'azimuts, en fonction de la déclinaison pour toutes les 10° de cette dernière, entre 14°. 48’ et 74°. 497. 5
Au moyen de cette table j'ai calculé, pour les 24" d'ascension droite, une liste générale de calages et des heures de passage de toutes les étoiles du catalogue de ГАтеrican Ephemeris (Astr. Papers Vol. X Part, 1). C'est dans cette liste générale que l'on
_choisissait, pour chaque soirée, les étoiles à observer. Je dois signaler cependant, que la
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