Радови из физиолошког завода

MÉTABOLISME DE ЗОММЕТ 3

ЕЛ

rapport à celui du rat. Le quotient métabolique est un peu plus fort chez ce dernier animal. Les valeurs pour le lapin concernent un jeune animal d'un mois, du poids de 200 gr. environs. Il faudrait faire ces déterminations chez l’aduite, pour pouvoir les comparer à cellés du rat et de la souris. Toutefois, comme on le verra plus loin, jes caractéristiques du lapin sont à peu prés constantes dès le huitième jour de sa naissance, aussi est-il probable qu'on trouverait chez l'adulte des valeurs semblables à celles que nous donnons pour le jeune lapin. Dans ce cas le métaboisme maximum serait notablement plus faible ches le lapin que chez la souris et le rat. Les caractéristiques du métabolisme de ја Souris, par unité de poids, sont tellement supérieures à celle du rat qu'elles sont plus que suïfisentes pour satisfaire à la loi des surfaces. Aussi par unité de surface, le métabolisme maximum et le métabolisme minimum sont chez la souris supérierus à ceux du rat de 95°/, et 75°, respectivement. Par conséquent, il est vrai que la loi des surfaces n’est pas valable dans се cas, mais il est necessaire de souligner que c’est par excès dans le sens exigé par cette loi que nous trouvons celle-ci en défaut. Il ÿ 4 lieu donc de chercher la cause, non pas de l'absence de Ja loi des surfaces mais de l’accentuation du caractère de cette loi, qui consiste en une variation du métabolisme de l’unité de poids en sens inverse de celle de la taille.

Les caractéristiques du métabolisme ont été déterminée s chez “quelques oiseaux adultes: le chardonneret, la pie-grièche (Lanius sp?) la caïlle:

Chardonneret Lanius Caille Poulet Poids: 18 66 89 193 Métabolisme maximum : 6553 5703 - 3200 Métabolisme minimum : 1584 1775 1034 1300 Quotient métabolique : 4,2 2 == 2,4

En comparant ces valeurs à celles concernant les mammifères dans le tableau précédent, on voit nettement que les caractéristi-ques du métabolisme ont des plus fortes valeurs chez les oiseaux, sans que le quotient métabolique soit forcement supérieur à celui des mammifères. Les valeurs pour le poulet concernent un animal de deux mois et demi. Chez les oiseaux nous retrouvons le même fait que chez les mammifères: le métabolisme, notamment le métabolisme de sommet, par unité de surface, est plus élevé chez les animaux de faible taille. Remarquons la valeur exceptionnelle