Топола

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гихъ естественныхъ цілей ('). Издателями й книгопродавцами запрещено издавать и продавать астрологическая книги безъ предварительной цензуры, которая должна состоять изъ представителей богословскаго и мсдицинскаго факультетозъ, Такая же цензура должна наблюдать и за изданіями календарей, дабы не поміщались въ нихъ различный предсказанія о государственныхъ событчяхъ и политическихъ переворотахъ составленныя по небеснымъ світилами ( 2 ). Послі такихъ постановленій парламента весьма естественно и желаніе Сервета поскоріе оставить столицу Францій и желаніе парижскихъ врачей какиыъ либо образомъ удалить его изъ Парижа. Вотъ поэтомуто Серветъ и не встретили особенныхъ препятствій для полученія въ Парижі степени доктора медицины, съ

(*) La Cour a ordonné et ordonne a Villanovanus present faire diligence a luy possible de retirer et recouvrer toutes et chacunes les Apologies qui ont esté imprimées et divulguées en son nom et tant des imprimeurs qui les ont imprimées, Libraires qui les ont eües pour exposer en vente, que autres personnes ausquelles ont esté baillées ou vendîtes et qui les ont par devers elles et ce dedans haitaine pour toutes préfixions et délais et ce fait apporter au Greffe de la- dite Cour, pour après ordonner par elle qui sera fait d’icelles Apologies: le tout sur peine d’amende arbitraire a la discrétion, de la dite Cour. Et si a enjoint et enjoint icelle Cour au dit Villanovanus porter a la dite Faculté de Medecine et Docteurs en icelle l’honneur, reverence et obeyssance, tels qu’un bon et notable disciple doit a ses Maistres et Précepteurs et luy defend de ne parler ny escrire contre icelle Faculté ou les dits Docteurs choses injurieuses ou convicieuses, directement ou indirectement, ains luy enjoint se conduire pacifiquement et en tranquillité. Aussi enjoint a la dite Faculté et Docteurs en icelle traitter doucement et amaiblement ledit Villanovanus, comme les Parens leurs enfans; et au sur plus a inhibé et défendu, inhibe et defend au dit Villanovanus, faire profession, soit en publique lecture, soit en quelque maniéré que ce soit, de F Astrologie judiciaire, quant et dminalionem appellant,. mais fasse seulement, si bon luy semble, profession de l’Astrologie, entant que touche la connoissance de l’influence des corps celestes , pour le regard de la disposition du temps et des autres choses naturelles, sans toucher aux choses par lesquelles l’on puisse juger parliculares inßuxus des corps celestes, etc... Ibid. 0 Ibid.