Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

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thus à’l4 raison, ils seront plus réfléchis; s'ils parviennent à ‘éclairer sur leurs véritables intérêts, c'en est fait de la grandeur

tet de la puissance de notre Empire!..……. Burke, toujours grand dans ses idées ‘administratives, avoit déjà calculé la pro“pression des richesses encore possibles que la France pourroiït déployer, si elle parvenoït à conserver ses conquêtes ; ét son gémie embrassant les ressources qui resteroient à toutes les nations de l’Europe, méditoit encore sur les moyens de faire «dominer l'Angleterre sur les mers. Il en “étoit à établir ses résultats, lorsque le capi“taine Barth entra , il lui apprit que la coali‘tion n’existoit plus , mais que Pitt, fertile en moyens destructeurs , avoit porté tout l’effort de ses négociations à engager la Russie à en former une seconde plus formidable que la première, qui monderoit l’Europe de barbares, ce qui devoit produire, d’après ses combinaisons , une espèce d’invasion qui désoleroit l'Allemagne et l'Italie, détruiroit ‘beaucoup de Français, puniroit la Prusse de sa neutralité, et affoibhroiït la Russie ellemême vis-à-vis la Porte , dont il veut ürer parti’; il se propose, ajouta-t-il, de solder