Conferences en forme de catechisme : pour la jeunesse de l'un et l'autre sexe : dédiées à la raison, à la vérité. Part 1-2

st fon ouvrage, & non l'éternité des peines. Les m<chants fur la terre font un de ces fléaux , undeces accidens par qui tu permets que l’ordre apparent foi troublé ; mais dont la caule , fans doute utile à ces defléins , échappe à nos foibles regards ; c’eft le fecret que tu res réfervé : ils peuvent triempher un moment ; mais ta juftice les fuir & les atteint : tæ juftice févere , & non impitoyable qui plaça les per vers entre les lois humaines & le remord, plus redoutable qu’elles, qui pour juge leur donna leur cœur & pour bourreau le fouvenir de la vérité, Dieu fi long-temps méconnu , Etre fublime audeflus des pricres , au-deflus des honneurs , tu es la vérité ; la vertu, la raifon; tu es la liberté , l'égalité; tour ce qui eft beau , tout ce qui eft bon, la perfection eft ton eflence , & nos cœurs enfin dignes de tof, n’ont appris À ne mieux te connoître que pour s’inftruire à mieux t’aimer.-

FIN.

ERRAT A:Page {,,Ôtez, de la République Françaife. Page 5, ligne à, la fûreté des proprietés, Hfez , la frets : la propriete. Page 7, ligne 29, la, lifez Île. Page 11, ligne 31, avoir lifez d’avoir. Page 13, ligne 28, vouloir , lifeg_ valoir. Püge 15, ligne 21, exifte, liez exige. “ Page 46, ligne 13, en fera mieux fentie ,; lifez, elle en era mieux fentie, é Tdem ; avant derriere ligne, Dieu nous a fait, lifez , Dieu ne

nous a pas fait.

Dansla feconde partie nous rapporterons les traits de civifne de nos freres d'armes , & noustraiterons de la définition des mots nouveaux adoptés depuis la révolution, :