Considérations sur l'état présent des choses, relativement à politique, aux armée, aux ésperances que lon peux fonder sur une paix prochaine avec la France, etc.
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Que les gouvernements éclairent donc les peuples; fi ce foin coûte quelque chofe à leur dignité ou à leur Economie, qu'ils fachent encore que lon ne recueille point fans femer, & que dans des tems d'orage, le fouple rofeau échappe à la tempête qui déraiene le chène infléxible,
Les affaflins fpoliateurs qui, jaloux de s’appliquer-Laxiôme de Rouffeau, que /er béu tes féroces ne règnent que dans les deferts, promenent aujourd'hui fur la France la hache du plus affreux Défpotifme; ne fournif fent que trop de reffources pour intéreffer & la pitié de cœurs tendres, par le nombre des viétimes qu’ils immolent à leur rage; & la juitice des cœurs droits par des ufurpations, des vols, des dilapidations de tous genres; & la raïfon du fage, par la conftante oppolition de leurs lois avec leur police, de leurs principes avec leurs a@ionss & enfin, jufqu'a la douce pudeur de l'innocence » « « « « S'il etoit permis de fouillier fes chaftes regards par le tableau de la viérge pure, jeune, belle, & craintive, qui, er-
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