Dictionnaire des athées anciens et modernes
BER 39 $ophe du XVII. siècle |, né à Moulins.
Malgré toutes ses précautions, il fut ac= cusé d’irréligion et même d’athéisme; mais heureusement , il n’était plus. Diderot.
Villemandy le considère comme un grand fauteur du pyrrhonisme.
Quo tendit assumpta! hœc Anaximandrihypethesis, quam Berigardus in circulis pisanis aristotelicæ longe præfertnisieo utin supremi numinis ejusq ; providentie locum infinitam quamdam materiam, infinitis corporibus dissimilaribus , ex seipsis mobilibus conflatam , Hoc est in veri dei solam cœcam naturam substiluat ?
C'est-à-dire : à un Dieu suprême , à la providence, Berigard substitue la nature , ou la matière organisée de facon à à produire tous les mouvemens , à l'aide de se propres élémens.
Universam mundi fabricam sine providentid architectrice , extruæisse se putat philo sophus. Samuel Pärker, Disput. de deo et
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provid.
C'est-à-dire: ce philosophe pensait que le grand édifice de l’univers ne supposait pas un Dieu architecte.