Historiens et marchands d'histoire : notes critiques sur des récents : La duchesse de Chevreuse ; La Tour du Pin ; Les vainqueurs de la Bastille ; Les discours de Danton ; Les volontaires nationaux ; Dumouriez ; Le général Dours, Stanislas Fréron ; Hohenlinden ; Le duc d'Enghien ; Duroe ; Étiene de Laclos ; Napoléon et le monde dramatique ; Madame de Genlis ; Delphine de Custine ; Le Brulard de Stendal ; A la barre de l'histoire ; La jeunesse de Louis-Philippe ; La guerre de 1870

LE BRULARD DE STENDHAL 271

guerre. Nous le trouvons ensuite sous-inspecteur aux revues (1800-1815) et inspecteur aux revues en 1815. Il prend sa retraite en 1823. Mais sa femme l’avait depuis longtemps quitté pour suivre Elie Audeval, commissaire des guerres et cousin des demoiselles Fernig.

Tome second.

P. 2. Le camarade de Beyle à l'Ecole centrale, Grand-Dufay, se prénommait Alexandre ; il eut en l’an VI le premier prix d’histoire et en l'an VII les deux premiers prix, celui de grammaire générale et celui de langues anciennes.

P. 5-11. Jajoute sur un autre camarade, sur Crozet, quelques détails précis. Examiné à Lyon et enregistré le 4 frimaire an IX ou 25 novembre 1800 à l’Ecole polytechnique, il habite durant son séjour à Paris dans les mêmes quartiers que Stendhal, au quinconce des Invalides (chez le citoyen Briare) et rue de Lille. Il se distingue dès l’Ecole où il se préparait au service des ponts et chaussées; il y est chef de brigade (19 novembre 1802) et adjoint aux répétiteurs d’analyse (10 juin 1803). Nous le voyons ensuite désigné pour être employé à la construction des chaloupes canonnières, (24 juin 1803) et admis le 6 brumaire an XII ou 29 octobre 1803 à l'Ecole des ponts et chaussées.

P. 11. Jean-Antoine-Amédée Plana, né le 8 novembre 1791 à Voghera en Piémont, fils du