La crise balkanique (1912-1913)

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PRÉFACE - x!

saisir ». Pour la Roumanie, ce n'est pas seulement l'avenir qui passe à sa portée: c'est encore le devoir qui appelle la signataire ‘du traité de Bucarest à faire honneur à sa signature et à se montrer à la hauteur de sa fortune. Il s'agit pour elle de devenir aujourd'hui une puissance de premier rang en réalisant son idéalnationalou de se résigner à ne le devenir jamais. Votre livre contribuerait, s'il en était besoin, à l'éclairer. Veuillez, cher Monsieur, agréer l'expression de mes sentiments bien sympathiques et tout dévoués.

RExé PINON.

Paris, 5 juillet 1916.