Mémoire sur la Bastille

PRÉFACE LI

thographe des noms propres, extrêmement négligée par nos deux auteurs, surtout par le second.

Quant au commentaire, nous n’avons pas cru qu’il dût servir à faire partager nos peines au lecteur, mais seulement à éclairer le texte sans l’alourdir par des digressions. Confronter avec le témoignage de Linguet, avec celui de Dusaulx, la multitude des autres témoignages contemporains sur le régime et sur la prise de la Bastille, c’est l’œuvre propre de l'historien : si nous avons cru devoir exprimer dans celte Introduction notre opinion générale, c’est afin de pouvoir serrer de plus près, dans nos notes, les difficultés particulières, et de les résoudre de notre mieux.

Octobre 1889.

H. Mons.