Précis de l'histoire de la révolution française. T. 1-3

21 diman. 22 lundi.

23 mardi.

24 mercr. 25 jeudi.

26 vendr.

27 samedi.

28 diman.

29 lundi. 30 mardi.

DÉS DECRETS. üj

tiers se rendent au jeu de Paume, et prononcent le serment de ne se dissoudre qu'après avoir donné une constitution à la France.

Une députation de la noblesse se rend chez le roi.

La séance royale annoncée Pour aujourd’hui estremise à demain.— Les députés du tiers s’assemblent dans Péglise St-Louis.

Séance royale. — Le roi casse les arrêtés du tiers-état, — Le roi parti, celui-ci fait un arrété Pour persister dans les précédens arrêtés, et déclare la personne des députés inviolable. — Fameuse réponse de Mirab eau au maître des cérémonies. L'assemblée nationale recommence ses travaux.— La majorité du clergé s’y réunit,

Neuf autres ecclésiastiques et quarante-sept membres de la noblesse se réunissent à l'assemblée nationale.

Députation de la chambre de la noblesse à l'assemblée nationale. Réunion totale des trois ordres.

Le peuple témoigne sa joie et se livre aux plus grandes espérances. La majorité de la noblesse et la minorité du elergé remettent eurs pouvoirs.

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x mercr.

2 jeudi. 3 venür.

4 samedi.

5 diman. 6 lundi. 7 mardi.

8 mercr. 9 jeudi. 10 yendr,

11 samedi.

12 diman.

13 lundi.

JUILLET : 789.

Le peuple de Paris sollicite La grace du roi pour quelques soldats arrachés de prison.

Réponse du roi au sujet de ces soldats.

Proclamation de M. le due d'Orléans comme président.—Son refus. — Il est remplacé par M. l'archevêque de Vienne.

D. sur l'admission de six députés de St-Domingue à l’assemblée nationale.

Les troupes allemandes approchent déjà de toutes parts.

À. pour la formation d’un comité de constitution.

Une ville dela Saintonge renonce au privilége d’étre exempte de la taille.

D. concernant les mandats impératifs,

Proposition d’un projet de l’ordre des travaux de l'assemblée.

L'assemblée nationale demande au roi le renvoi des troupes.— Le roi la rassure sur leur emploi. — Grande fermentation à Paris.

Renvoi et départ de M. Necker,

La nouvelle du renvoi de M. Necker se répand.— Consternation du peuple. — Le soir le prince Lambese entre dans les Tuileries à la téte de ses cavaliers, :

L'assemblée nationale députe au roi pour lui peindre la situation horrible de Paris. — Réponse sinistre du roi. —ÆElle députe au peuple de Paris pour le conjurer de respecter Vordre public: — A. pour l'établissement de gardes bour--