Étude des ferments des glucosides et des hydrates de carbonne chez les mollusques et chez les crustacés
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buer les actions qu'exerce un seul liquide. Les auteurs qui sont arrivés à diverses conclusions en se servant de ces méthodes, à défaut de meilleures, se faisaient peu d'illusion, 1l nous semble, sur la valeur de ces méthodes. Aussi, au cours de ce travail, nous ne nous prononce rons pas d’une façon catégorique sur la question, à quels ferments sont attribuables les actions diastasiques que nous constaterons. Dans certains cas nous avons appliqué les méthodes que nous venons de discuter pour savoir à quels résultats elles nous conduiraient. Si nous enavonstiré quelques conclusions relatives alaspécificité, nous l'avons fait tout en n’oubliant pas la valeur relative qu’elles peuvent avoir.
Il est certain qu’au point de vue de l'analyse des actions diastasiques il serait d’un intérêt capital de savoir exactement quel est le degré de spécificité d'un ferment. Eneffet, on pourrait alors chercher les relations qui existent entre les corps attaqués par un même ferment, soit dans leur composition chimique, soit dans leur structure stréréochimique, etc. Ce n'est qu'alors qu'on pourrait établir d'une facon précise les lois qui
régissent l'électivité des actions diastasiques.
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