Анали Правног факултета у Београду

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3AIAM Y СКИЦИ ЗА ЗАКОНИК О ОБЛИГАЦИЈАМА

possibles (par exemple, à ce que dans le prêt gratuit le préteur réponde seulemen pour le dommage causé de manière dolosive et non point pour le dommage causé par inadvertance, comme le propose l’Esquisse). L’opinion est émise qu'il faudrait peutêtre insérer dans la définition du prêt et la détermination des obligations du débiteur de telles formules qui rendraient plus clair le principe nominaliste, pour lequel s’est è juste titre prononcée l’Esquisse aussi. Dans la deuxième partie est exposé d’abord le dilemme de la théorie et de la législation yougoslave par rapport à la légitimité des intérêts. Danas les temps les plus récents il n’y a pas d’hésitations l’intérêt pour le prêt est permis. En ce qui concerne le procédé par lequel les intérêts sont réserves en le considérant trop rigide. Il est d’avis qu’il faudrait introduire des critères »plus dynamiques«, ou autoriser un certain organe à déterminer périodiquement le montant des taux d’intérêt pour certaines catégories de crédit, conformément à la conjoncture économique et à d’autres circonstances.