Извештај о радњи српског друштва „Црвенога крста“

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À la veille de l'effondrement de la Serbie, en septembre, octobre et novembre 1914, les magasins de la Croix-Rouge Serbe: étaient remplis de toutes les provisions nécessaires. Nous voulons mentionner seulement l'euate, et c’est tout dire ! II y en avait 126,000 kilos ! Et tout cela à été saisi par la Croix-Rouge bulgare. Au dernier moment, une partie en fut expédiée à Skoplyé, où elle fut également capturée par l'armée bulgare. Une autre partie, expédiée à Krouchévatz, fut capturée par les Allemands qui prétendaient y avoir droit aux termes de la Convention de Genève.

Concession d'exemption en douane. ‘

Le Ministre des Finances exemptait toutes les missions étrangères de l'acquittement des droits de douane sur le matériel sanitaire importé au cours de toute l’époque de 1912-1920.

Le personnel sanitaire volontaire, tant masculin que féminin, remplit son devoir au cours de toutes les guerres, avec conscience et dévouement. Il manquait d'instruction préliminaire, ce qui n'empêche pas qu'il comptait des personnes si expérimentées et si adroites que les missions étrangères en étaient étonnées.

On fait tous les préparatifs LE pour fonder en Serbie une école d’infirmiers.

Question des prisonniers.

Immédiatement après la déclaration de guerre de 1914, la CroixRouge Serbe a demandé et obtenu l'autorisation du Gouvernement d’organiser le Bureau de renseignements pour les prisonniers, ce qui lui a permis de rendre d'énormes services sur toutes les lignes.

Ce service a été exercé par la Croix-Rouge Serbe pendant les 10 mois depuis la déclaration de guerre jusqu'au 29 mai 1915, époque à laquelle il fut transféré, en vertu d’une ordonnance du Gouvernement Royal, au Commandement de prisonniers.

Officiers, sous-officiers et soldats serbes prisonniers et citoyens serbes internés en 1914-1918.

EN Autriche-Hongrie.

D'après la correspondance échangée avec le Gouvernement militaire à Belgrade par le Ministère de la Guerre à Vienne, du 1% Juillet 1916 (Abt. 10/Kgi N° 6481) et dont s'empara l'armée serbe au cours de la retraite de l’armée austro-hongroise, il y avait à cette époque