Народно благостање

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prix exercent une iniluence considčrable sur la formation. des prix de la marchandise nationale. Bien que le processus extremement compliquć de ! incidence des drofs douančrs ne soit pas encore sulisamment ćcla:re il n y a pas de doute quil faut distinguer d.fićrentes categories des marchandises: d'une part, celles dont le prix du marchć national n est pas alfectć par Paugmentation du prix de la marchandise importće, causče par les droits de douane, et d' autre part, celies qui se montrent irčs sens:bles ž2 | ćgard de la formation des prix. Cette sensibilite se manifeste en ceci que les prix du marchć interieur se maintiennent au niveau de la paritć d importation. П зеган а dćsirer que Ion fienne сотрје des difćrents

НАРОДНО БЛАГОСТАЊЕ

дестез де ја sensitivite des prix. dans le systeme douanie.”

Partout, ot les droits douaniers n ont aucune iniluence sur la

formation des prix de la marchandise nationale, ils sont ind:

ifčrents et ne portent aucun prejudice. Dans ce cas ils n' exercent qu” un effet fiscal et peuvent čtre maintenus 3 leur niveau. Par contre, il faudrait envisager un iraitement preićrente:; c'est.š3-

d:re ! octroi des droits douaniers plus modćrćs dans les cas oh ; les importations font montfer le niveau de prix de la marchandise nationale. Ce systčme prefćrentiel, tenant compte де | 6,6-:

ment quaiitatit de la formation des prix, consfituerait un complement rationnel du sysičme prćićrentiel susmentionnć qui se

baserait sur P čićment aquanišatit 055 chittres de 1 ехропанНоп '

et de, ? importation.

En lieu et place du jeu mćcanique de la clause de la nation ia plus iavorisće qui gćnćralise le traitement sans tenir compte du fait que les ditićrents Etats dependant plus ou moins les uns des autres (voir les statistiques согатегстајез), зузтеше ргејбгепне! базе зиг јез exportations et importations tiendrait mieux compte de | interdependance ćconomique des peupies. Ce systeme na pas le cafactčre d'une „categorie permanente”, mais d'une „catćgorie historique”, tenant compte du iait que les rapporis mutuels des peuples sont soumis a des iluctuations continue!lles, et que les relations internationales sont rčgies par des mouvements de va-el-vient. Сене prčićrence condit:Onmeile, c' est-a-dire dependant du chire а' анајтез, soit du volume des marchafidises exportćes dans un certain pays, comporte aue fe! ou tel pays bćneliciera dans une mestre ргоgressive du systčme prefćrentiel, tandis que tel autre qui en avait joui pendant un temps dćterminć, en perdra la jouissance. Ce serajent surtout јез гејанол5 соттегсјајез qui регдгајен! leur nature politique; les rapports ćčconomiques entre les nations — Sur la base dun traitement prećičrentiel — se nouent et se dečnouent, s' ćlargissent et se rćirćcissent sous un angle purement čconomique. La statque rigide de la clause de la nation la plus favorisće cčde sa place 2 une dynamigque mobile d” in traitement prćićrentiel s adaptant spontanement aux fluctuations perpčtuelles dans la vie ćčconomique des peubles.

La critique

Le point de dćpart de la construction du nouveal Systčme prćićrentiel de ma chčre et distinguće coličgue Dr. Sommer cest la fai,lite de la clause de la nation la plus favorisće — „= strument de la politique commerciale libre-echangiste”. li mest impossible d'adhćrer A cet avis. La clause de la nation la plus favorisće est aussi Pinstrument du protect:onisme que du libre-čchange. Le systčme profectioniste francais i inaugirć en 1892 a ćtć basć sur la clause de la nation la plus favorisće. Le protectionisme le plus excessif peut aussi čtre pratiquć sous rćgime de cette clause. II mest Dara aussiı ćrronnć Passertion de la faillite de cette clause. II ny a pas d'Etat qui risquerait de baser sa politque commercial sur Pexclusion de себе clause. Il serait ruin dans peu de temps. Ce que demandent, ses „adversaires”

cest Padmission du drojt preićrenciel. L' idće fondamentale du systeme prefćrentel Sommer cest la corrćlation des concćssions douničres, 2 accorder a un tat, a son rang parmi les Etats acheteurs. Le ftaux du droit

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de douane le plus bas sera accordć ž2 Etat qui est le plus gros acheteur. C'est en coniormite avec ıa politique entre les particuliers. Le vice du systčme prečferentiel Somimer est 4 chercher dans lapplicaton da procedć pratique par les particulier dans les opčrations dachat et de vente aux echanges internacionaux (ce que Dr. Sommer considčre, comme son avantage spćcial).

li a'y a aucune analogije entre un contrat dachat et de vente et Un iraitć comćčrce. 1.65 Cconftaclanis daus ип стане de commerce ne sont ni acneteurs ni vendeurs, le sujet du contrat n'est pas ia vente, mai ie droit de douane qui na rien de commun aves le prix. Dans un contrat dachat Pacheteur achčte (ou sengage dacheter) une quantitć de marchandise a un prix lixe; dans traite de commerce le contractants ne sengangent a aucun achat, ils reglent une mafičre qui n'a rien ž faire avec le prix. Le prime accordć ž lacheteur cest une quofe-part du рих, dans le traite de commerce ie prime est une quofe-part du droit de douane qui n'a пеп а faire avec les achats; il se rapporte plutot aux ventes de lacheteur au vendeur, puisque le prime est subordonnć 4 la double qualitć dacheteur et de vendeur de cnaqu un de contractants.

Entm, le droit de douane fixć dans un traite de commerce et le prime y contenu sont en faveur des vendeurs et non des acheteurs de la marchandise provenani de IEtat A. qui accorde је prime. Les vendeurs de la marchandise provenant de la PEtat B. aux citoyens de PEtat A., beneiiciaire du prime, n'ont rien de comun avec ıes acheteurs de la marchandise de | Etat A. | ny a pas moyen de Ta.re proliter aux exportateurs de PEtat A. le prime accordć a4 ses imporfateurs. Le monopole (ie droit ртејеrenciel de plus favorab:e) стеб еп Тауешт дез штрогтафецга де ГЕга! В. тауопве 1е5 трогганопз ац Неш de servir aux exportations. L'augmentation de Pimportation de PEtat B. dans A., grace au prime, sS'elfectue au dećiriment des autres Etats importateurs — Concurentis de PEtat B. Tout en conformite avec le piincipe ci-dessus, il retirent Jes concessions accordćes a lEtat A. pour les cčder aux me:leurs acheteurs de leur marchandise.

Le systčeme ог. Sommer aboutit a 'hypertrophie de Pimportation de IEtat B. dans IEtat A. sans garantir la moindre compensation et a ја paralyse de Pexportation de PEtat A. dans le reste du monde а la suite de represessailes en reponse au droit preičrentiel accorde a ]Etat B.

A la fin de compte il enitralnerait Pančantissement du commerce internafional.

Il est vrai que la clause de la nation la plus favorisće a une tendence ćgalitaire. Elle a remercier sa naissance А сопstations que les conditions dilćrenftie.les douaničres rendent le commerce international impossible. La clause disparaitre seulement sous regime Фаштагсћје.

V. Bajkiteh

PREVOD

1. Teza g-đice dr. Lujze Somer.

Gospođica Lujza Somer veli da je klauzula najvećeg povlašćenja bankrotirala jer |e ona instrumenat slobodne (гооушske politike. Protekcionizam, koji raste iz dana u dan, neće više klauzulu najvećeg povlašćenja, zbog toga se traži nov pravni instrumenat koji bi bolje odgovarao tendencijama protekcionizna (pri čemu treba imati u vidu da je gospođica Lujza Somer pristalica slobodne trgovine). Ona predlaže svoj metod кој је zasnovan па staroj praksi pri kupoprodaji među privatnicima, pri kojoj kupac dobija u toliko povoljniju cenu u koliko veću količinu kupuje. Postoji dakle izvesna obrnuta razmera između. cene i iznosa kupoprodaje. Taj princip, veli ona, treba primenjivati i na odnose među narodama. То bi se рознојо па taj način, što bi države davale najveće koncesije (carinske | druge naravno) onim državama koje su najveći kupci-izvoznici njihove