Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

AVANT-PROPOS

DU TRADUCTEUR.

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JE demande pardon d'avance aux savans , aux écrivains et aux administrateurs français, des vérités dures que Burke se permertoit de dire contre eux, en traitant un sujet qui devoit lui être étranger, et qui leur étoit particulièrement dévolu ; ils s'empresseront sans doute d'y répondre, en redressant les erreurs et rectifiant les

calculs qu'il a pu faire.

» Je les préviens, néanmoins, que je dois à sa mémoire, non pas la défense de ses principes, mais celle des faits qu'il rapporte pour les établir,

et je m'engage de répliquer aux ob-