Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

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les moyens. de pr cndre une para active. dans nos projets. 3.90 hansreatl s

- Paryenus à, l'époque & de. xt, ;. notre se tente métoit pas encore. entièrement. rerplie; mous avions cependant dépossédé plu sieuxs..: nababs, dans, l'Inde ,. nos. établissemensiy annonçoient, plutôt. une, puissance formidable....que( des;i :comptoirs } \de,.çcommerce ; eSSUE que.les, Français: voient. StAbEs a n'existoient plus, les rois qui habi-

toient ces riches contrées, avoient été forcés de, se retiser bien.avant dans les, iterres: set nous, possédions tou ours l’empire des mers. =: Nous avions réduit les Français dans leur, marine , NOUS profitions; d'une grande-partie de, leur: commerce, d'exportation; et d'importation » nous pre: enions dans leursports.….,

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_.Q ! pour cela, c ’est SE Vrak, Et le,capitaine ; mais je n’ayois pas encore songé > qu'ayant. gagné depuis-dix'ans, vingt mille livres sterling: sur. leurs denrées ,:.je leur: faisois perdre cette: aleur.… Je. concois actuellement que s'ils des avoient.exportées avec.keurs propres,vaisseaux,, etique s'ils. les avaient vendues , comme j'ai fait, cette, somme auroit tourné.à leur profit. :

-Goddem:! dit. Burke. taisez-vous ; VOUS