Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

(1) vendre, mon cher Tom, ilfaut.des ache: teurs , les nations qui emploient leur superflu et leurs ressources à faire la guerre , ne peuvent guère se procurer des objets de consommation dont on peut se passer ,:et Pitt parvient néanmoins à persuader au parlement .que , quoiqu’on ne vende pas, il faut toujours fournir de l'argent. — Voilà un mauvais commerce, dit le capitaine, car je vous préviens que le Portugal n’a plus d’or, nous le lui ayons enlevé ; l’Inde commence à être épuisée, et nous sommes obligés de nous y agrandir par de nouvelles conquêtes ; il nous reste , à la vérité, beaucoup de marchandisés: et de productions étrangères de toute nature, mais que diable en cons -nous si on nous les laïssoit sur les bras?

Ce jeune homme, ce jeune homme nous perdra, dit Burke , c’est l'esprit le plus altier, le plus entêté, et si acharné à ses déterminations , que l’effroi que lui donne le murmure momentané du peuple, ne balance pas même l’amour-propre qui le domine , et l’orgueil de convaincre toute l’Europe al règne sur Vraie

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