Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

(589 ante bellum , ce qui-n’est pas présumable, notre dette nationale portée à dix mülliards, notre banque épuisée , notre crédit affoibli, nous laisseront dans une position d'autant plus désastreuse , que les Français ayant disséminé leurs richesses, réduiront #orcément leurs besoins | leur luxé!,et leurs consommations étrangères ; et :qui,Sdit même si une nouvelle mode ne-:leur fera pas prendre à tâche de suivre le régime simple des républicains ? n’ont-ils pas voulu «ressembler aux An glaïs de la tête aux ee pendant un certain pe

Si nous sommes privés des bénéfices immenses que nous'faisions avec leurs propres denrées ;sileur marine s’établissoit à l'instar dela nôtre ; si nos manufactures:leur.deve-noïent inutiles ; si nos marchandises de l'Inde cessoient d’être préférées à -celles qu'ils fabriquent ; s’ils s’avisoient enfin de faire leur commerce avec leurs propres moyens, et qu'ils parvinssent successivement à spéculer exclusivement , ou seulement avec quelque faveur , aveciles alliés

-qu’ils pourront faire ! Diable! ditle capitaine, savez-vous qu ls

nous ruineroient ? D 3