Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

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véux la saisir dans ses propres moyens dexistence et. la faire périr sous le poids de l’opulence qui l’éblouit !

“Je veux tracer la route qui peut rendre le commerce des Français de plus en plus préjudiciable : leur importation en denrées eten marchandises étrangères s’accroît chaque jour, je donnerai les moyens de la provoquer encore. La masse de leurs impôts forcera leurs cultivateurs de vendre jusqu'aux productions qui sont les plus nécessaires à leur existence, nous parviendrons à en réduire encorele prix, cequiaggravera d'autant leur situation.

Le mouvement de leur commerce donnera le change auxhabitans des villes, leurs administrateurs se tromperont par l’abondance factice des objets étrangers aux prodüctions de leur sol «et de leur industrie $ et leurs cultivateurs périront de misère !.…. et' leurs manufactures s’anéantiront succes: siyement !:...

Pars, va mon cher Tom ; mes instructions t'apprendront ce qui devient nécéssaire à mon projet, je te le développerai à ton retour.

Pendant le voyage du capitaine, Burke