Bibliografia Vichiana II

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CHÉRUEL - VALÉRY - DE SERRES - WILLM - DE BARANTE

Di lui è da vedere uno studio sul Progrès de l’histoire du dix-neuvième siede, inserito primamente nella Revue de Rouen del 1833, indi ristampato nel volume decimosesto della Revue de synthèse historique, fascicolo del giugno 1908 (cfr. specialmente pp. 264-66). Cfr. Bouquet, Sou. venirs du collège de Rouen par un élève de pension (Rouen, 1875), p. 74. 11. Valéry. Nel pubblicare nel 1835 presso lo Hausman di Bruxelles i suoi Voyages historiques et littéraires en Italie pendant les années 1826, 1827 et 1828, il Valéry scrive (p. 346) a proposito della lapide elevata al Vico nella chiesa napoletana dei Gerolamini ; « génie allemand sous le soleil de Naples, méconnu pendant sa vie et longtemps après sa mort, doni le système, compris seuletnent d’un petit notnbre d’adeptes, a de nos jours été médité par de savana et profonda interprètes ». 12. P. M. de Serres. —ll Vico è citato dal geologo Pietro Marcello de Serres da Montpellier (1819-85) in De la contemporaneité de Vhomme et des espèces d’animax perdues (Parigi, 1835). Cfr. Poli, Supplementi al Tennemann, IV, 700, nota 1. 13. J. Willtn. Nella traduzione francese del Jugement sur la philosophie de M. Cousin dello Schelling (Parigi e Strasburgo, 1835) precede, col titolo Essai sur la nationalité des philosophes, uno studio di J. Willtn, ove, a p. xviii, viene posto in rilievo che il Vico « ne fut apprécié hors d’ltalie que depuis que Goethe appela sur lui Pattention du monde savant (?), et ses idées si originales, si fécondes, demeurèrent au dehors du mouvement des esprits du dix-huitième siede ». 14. G. P. de Barante. Sin dal 22 luglio 1827, in una lettera al Michelet, Guglielmo Prospero Brugière barone de Barante (1782-1866) discorreva della Scienza nuova come d’un « livre merveilleux », soggiungendo che «on se sent profondément attristé en voyant le talent meconnu précisément parce qu’ il excède les limites de son teraps » e che « après tant de grands écrivains, après tant de scènes historiques qui nous ont préoccupés et instruits, à peine notre génération comprend-elle l’histoire d’une fagon aussi grande et aussi vraie que Vico». Ispirato allo stesso entusiasmo per la Scienza nuova in genere, e più particolarmente per la « storia ideale eterna » nel suo significato deteriore di costruzione aprioristica del corso delle cose umane, è la pagina consacrata al Nostro nei Mélanges historiques et littéraires pubblicati a Bruxelles nel 1835.