Discours de M. le général Cubières, pair de France, ancien ministre de la guerre, membre du Comité d'infanterie : recueillis et précédés d'une notice historique par un officier de l'ancienne armée
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cipale avait lieu sur Îe côteau de Surville, sous les ordres du général comte Gérard, que l'Empereur avait investi du commandement de toutes les troupes, en remplacement du duc de Bellune, et que ce fut à ses savantes et énergiques dispositions que l’on dut les succès décisifs d’une journée si glorieuse et jusqu'alors incertaine.
Il est heureux pour moi d’avoir à réunir dans une même gloire les noms de deux hommes qui s’estimaient sincèrement, qui furent tons deux amis, et m’honorèrent d’une égale bienveillance.
Veuillez insérer cette explication dans votre plus prochain uuméro, et recevez, etc.
Le lieutenant général, Pair de France, CuBIÈRES,
Lettre du général Cubières à S. 4. R, Monseigneur le duc de Nemours.
Paris, le 25 mars 1844.
J'ai l'honneur de faire hommage à V. A. R. des paroles que j'ai prononcées sur la tombe du général Pajol, à la demande de sa famille, et à défaut d’orateurs plus exercés
qui auraient mieux rempli une pareille tâche.
_ En retraçant brièvement cette vie militaire si pleine de beaux faits d'armes, je tenais à constater aussi que le dévouement de Pajol au Roi et à nos institutions ne s’était jamais refroidi un seul instant ; personne mieux que moi n’était en mesure de l’affirmer; car, peu de jours avant sa fin, il me parlait de toute la famille royale avec effusion ; de vous, monseigneur, en particulier, et du prince de Joinville, Il souhaitait au Roi, à la Reine, aux enfants qu