Garat 1762-1823

TABLE.

CHAPITRE IV

Enthousiasme de Garat à son retour de Versailles. — Il abandonne les études de Droit. — Il retourne à Versailles. — Il chante devant la reine des mélodies basques. — Le père de Garat supprime la pension de son fils. — Embarras de Garat. — Il refuse d’entrer au théâtre. — Le comte de Vaudreuil. — Garat secrétaire du comte d’Artois. — Il obtient de la reine une pension de 6 000 livres. — Pensions accordées à Azevedo et Louet. — Gralification de 300 livres refusée par Joseph Garat. — Quatrain de Rivarol. — Garat écrit à son père pour rentrer en grâce. — Inflexibilité du père de Garat. — La reine paie deux fois les dettes de Garat.— Madame de Guéménée et ses fournisseurs. — M. de Montmorin et son tailleur. — Réponse d’un courlisan à Louis XV. — Marie-Antoinette à Trianon. — Jardins et théâtre de Trianon. — Du chanteur dramatique. — L'acteur sous l’ancien régime. — Opinion de J.-J. Rousseau à cet égard. — Les théâtres de société à la fin du xviu° siècle. — Bizarrerie de Garat. — Garat et l’ambassadrice d'Espagne. — Garat chez madame Vigée Le Brun. — Azevedo souffleté. Parallèle entre Garat et Azevedo. — Opinion de l'abbé Arnaud à ce sujet. — Le Caveau. — Garat chez madame Filleul, chez le comte de Vaudreuil, chez Grimod de la Reynière, chez Benjamin de Laborde, chez Joseph /deLaborde 15522... 00066

CHAPITRE V

Cagliostro et la franc-maçonnerie. — Mesmer et le comte de Puységur. — La loge de la Sagesse lriomphante. Travaux des loges. — Le Grand-Orient de France fait chanter une messe à Saint-Eustache à l’occasion de la

naissance du Dauphin. — Premières dignités du Grand-Orient de France occupées par les princes du sang. — Loges d'adoption. — La princesse de Lam-

balle grande-maîtresse des Loges écossaises régulières. — L'impératrice Joséphine dernière maîtresse des loges d'adoption. — Garat chante des duos à Trianon

avec Marie-Antoinelte. — Il interprète Gluck. Encore les Gluckistes et les Piccinistes. — Opinion de d’Alembert sur Gluck. — Garat se passionne pour

Mozart et le fait connaitre en France. — Les bouffons