Historiens et marchands d'histoire : notes critiques sur des récents : La duchesse de Chevreuse ; La Tour du Pin ; Les vainqueurs de la Bastille ; Les discours de Danton ; Les volontaires nationaux ; Dumouriez ; Le général Dours, Stanislas Fréron ; Hohenlinden ; Le duc d'Enghien ; Duroe ; Étiene de Laclos ; Napoléon et le monde dramatique ; Madame de Genlis ; Delphine de Custine ; Le Brulard de Stendal ; A la barre de l'histoire ; La jeunesse de Louis-Philippe ; La guerre de 1870

LA DUCHESSE DE CHEVREUSE RL

la faire jouer avec le danger, sinon pour l'exposer à s’y abandonner ».

« Provoquant de nombreuses passions, elle n'y résistait pas ».

« Etant parti avec rien, il s'occupait à réunir un patrimoine.…. »

« En quête de bonnes fortunes où il réussissait assez bien ».

« Les deux gentilhommes en question ».

De franches incorrections :

« Brouillant le ménage de son humeur ».

« Elle avait ponts de ce qu’on eût mis... » « Il avait protesté de ce qu'on ne lui avait pas accordé... »

« Un corps bien découplé par des exercices sue ques ».

« discuter de ses intérêts ».

« … perquisitionnèrent chez Châteauneuf où l’on trouva... »

« Anne s’attribua la régence qu’on avait voulu lui refuser, et à la séance où l'on proclama cette décision... » (le premier on désigne le roi, et le second on, le Parlement).

« Cet événement (la majorité de Louis XIV), en apparence tout formaliste, considérable en fait... »

« Nous croyons avoir donné une impression davantage vivante ».

L’abus incroyable du pronom lequel et surtout du pronom celui-ci, celle-ci.

Une malheureuse passion pour l’imparfait du subjonctif (« que tous les alliés se brouillässent » ; l’auteur serait-il du Midi ?)

Le singulier emploi de certains mots: