Historiens et marchands d'histoire : notes critiques sur des récents : La duchesse de Chevreuse ; La Tour du Pin ; Les vainqueurs de la Bastille ; Les discours de Danton ; Les volontaires nationaux ; Dumouriez ; Le général Dours, Stanislas Fréron ; Hohenlinden ; Le duc d'Enghien ; Duroe ; Étiene de Laclos ; Napoléon et le monde dramatique ; Madame de Genlis ; Delphine de Custine ; Le Brulard de Stendal ; A la barre de l'histoire ; La jeunesse de Louis-Philippe ; La guerre de 1870

kk NOTES CRITIQUES SUR DE RÉCENTS OUVRAGES

il aurait dû la citer dans son avant-propos et la recommander spécialement à ses lecteurs. Pourquoi ne pas nommer ses devanciers? Pourquoi dire « les monographies du Cantal et de la Corrèze » au lieu de dire « les études de M. Delmas et de M. de Seilhac »? Pourquoi, lorsqu'il cite par deux fois (p. 394 et 518) la nouvelle édition de l'Etat militaire de France pour 1793, tait-il de nouveau le nom de l'éditeur, Léon Hennet, comme si cette œuvre, remaniée et refondue par M. Hennet, n’était pas une œuvre originale et vraiment personnelle, une œuvre que lui-même a compulsée, utilisée, copiée? Pourquoi, dans cet avant-propos, ne pas citer, même en note, et le livre de Camille Rousset qui reste toujours là grâce à ses documents, et le travail de Iung sur Dubois-Crancé, et le bon et solide ouvrage du baron Poisson, L'armée et la garde nationale, si clair, si net, si exempt de prétention et dignement loué par Sybel, et l’Æistoire de l'infanterie française de Susane ? Il aurait dû surtout mentionner cet excellent Susane. Il trouvait dans le tome I de l’édition de 1849 les tableaux de la première et de la seconde formation des demi-brigades, dans le tome 1 de l’édition de 4876 la liste complète des bataillons départementaux avec nom du chef et dates de formation et d’amalgames ainsi que de toutes les demi-brigades de première et de seconde formation avec date de la formation, la composition,