Journal d'un étudiant (Edmond Géraud), pendant la Révolution (1789-1793)

PENDANT LA RÉVOLUTION. 263 se plairait-elle à écraser la faiblesse ? Ne devons-nous pas nous borner contre ces êtres vils et méprisables à des peines pécuniaires? et sans verser leur sang impur, ne remplirons-nous pas par là notre but qui est de rendre impuissants tous leurs petits efforts? ils vivront pour s'abhorrer eux-mêmes et pour être à jamais exécrés par les bons citoyens. »