La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

— A4T —

L'inscription de la médaille y est reproduite telle qu’elle est connue ; et par surcroît, l’acte même, dans son contexte, donne cette date non plus en chiffres mais en toutes lettres : « Atteint d’une « blessure mortelle à lPattaque de Nantes, le « vingt-neuf juin de la même année [1793], et « mort à Saint-Florent-le-Vieil le quatre juillet « suivant ». A la suite s’apposent les signatures des curés de Chaudron, de Montrevault, du Pinen-Mauges, de la Chapelle-du-Genest, des anciens chefs et commandants GC. de la Bouère, Cesbron, Daviau, Moricet, Thuillier, MartinBaudinière, Benoit, de Bruc, Esseul, marquis de Civrac, chevalier de Lostange et autres, notamment du fils et du petit-fils de Cathelineau. Mais « ces personnages officiels », — me va dire l'interrupteur ‘, — « n'étaient pas très ferrés « sur l’histoire de la Vendée et avaient pu se « tromper aussi d’un chiffre. Quant au gendre, « au fils, aux témoins, ils avaient signé de con« fiance.» — Etvoilàdequellesraisons se paient des hommes sérieux — «très ferrés sur l’histoire de la

1 P. 77-178.