La Presse libre selon les principes de 1789

LIBRE 455 » mité de constitution et celui de jurisprudence ert» minelle réunis de lui présenter le mode d'exécu» tion de son décrel du 34 juillet. »

La presse avait très bien compris, dès la première heure, la pensée du décret du 31 juillet.

« Marat, s'était écrié un journal des moins exagérés, la Chronique, n’a été qu'un échelon pour arriver à Camille Desmoulins, et leurs écrits ont servi de prétexte pour extirper là race utile des éerivains patriotes. »

Sans doute, la presse devait se réjouir du nouveau décret du 2 août, mais il n'était pas en luimême assez précis pour mériter d'être appuyé unanimement. Le défaut de clarté quelui reprochaient à juste titre les révolutionnaires servit de prétexte aux royalistes pour en demander le retrait, le 3 août au malin

C’est encore l’infatigable Malouet qui fait remar-