La Serbie
structure bien proportionnée et large de poitrine. Botté, et en uniforme de campagne bleu-horizon. La veste ornée d'une quadruple rangée dé \décorations et de médailles, il Ss'avance avec des tes rapides, très décidés. Sa silhouette à quelque chose de notre Szirmaü dans le rôle de Napoléon. Sa tête est plus large que haute, la couleur de son Visage fortement pourprée, ses cheveux légèrement grisonnanfs, Sa courte moustache pas encore. La ligne du nez, brisée en haut, est ergique, les yeux profondément mjpirs, intelligents et pleins de feu. à
Le général Franchet d'Espérey fait un grand
, comme au théâtre. Carolyi se présente luimême, puis les membres de la délégation, I demande au général la permission de lui transmettre le mémoire de la délégation de paix. ji lit sur des feuillets détachés. Le général Fest placé près de la cheminée où il se tient légèrement appuyé sur le coude gauche, ét le bras droit jibre dans ses mouvements. C'est ‘une pose à grand effet. Franchet d'Espérey accompagne de mimiques multiples les points de notre mémoire
e Carolyi expose lentement, à voix basse, irès
ivement en accentuant ses propres vues. Parfois él incline la tête. Les chapitres sur la guerre de la démocratie en Hongrie semblent r son cachet. A la phrase «que la terra revienne au peuple qui la cultive », il a l'air d'étre particulièrement d'accord. La prétentioni “que la Hongrie soit un Etat neutre» lui fait éétourner la, tête. La phrase «nous paraissons! devant vous comme les représentants de la volonté du peuple hongrois» est interrompue par un brusque: «pas hongrois, magyar». A ces mots jentendis sa voix pour la première fois, une voix daire, un organe riche en modulations qui tinte _ dairement quand il s'élève. Une bonne voix de commandant. A l'ouïe du nom de Wilson ül fit un geste dédaigneux de fa main.
Pour donner une idée de l'accueil que la déléation hongroise a trouvé auprès du général Franchet d'Espérey, nous publions encore quelques
détails, rapportés dans les journaux hongrois. Lorsque le général Franchet a appris qu'il se trouvait parmi les délégués hongrois un officier comme représentant du conseil des ouvriers et ces soldats, il s'est tourné vers lui et l'a apostophé par les paroles suivantes: « Vous êtes tombé si bas!» Parlant du mouvement bolchévik, il a dit qu'il le réprimerait de toutes ses forces et qu'il ne tolérmerait pas que la paix soit troublée par les menées des agitateurs anarchistes et bolchévistes. «Les Hrançais savent ‘bien commander, non pas à la manière prussienne, mais pourtant ayec une énergie sullisante ».
Le professeur Oscar Jassi a déclaré à un correspondant du « Pester Lloyd» que l'accueil sobre a sympathique de la population serbe contrastait singulièrement avec la pause imenaçante du commandant français. Nous étions, dit M. Jassi, très troublés par ‘cet accueil dur et hostile, pourtant je me peux pas nier que le général français soit une figure intéressante et impiosante, chacune de ses paroles et chacun de ses son ton est très dur. Sur moi, äl a fait l'imgestes révèlent un soldat de grand style. Mais pression, qu'il était une personnalité imbue des idées royalistes. Je le déduis non seulement de la compassion qu'il montrait pour notre roi mais aussi de sa théorie que Le peuple hongrois était aussi responsable de la guerre actuelle que lo kaïser Guillaume et son entourage. J'ai également l'impression que le général Franchet est non seulement un royaliste mais aussi un nature conservatrice. Ses paroles n'étaient peutêtre dans aucun point aussi passionnées que dans ses idées sur le mouvement bolchéviste et anarchiste, Il ne faut donc pas s'étonner qu'un homme professant de telles idées, et d'une telle structure, ne montre aucun intérêt particulier pour Ja causa de la Hongrie. Pour lui le peuple hongrois doit supporter toutes les conséquences de la guerre au même titre que le kaiser allemand, » :
LA
Karl Rautsky, la Serbie et la Bulgarie
Karl Kautsky, fondateur et rédacteur em chef
de la revue socialiste « Die Neue Zeit» a publié l'année dernière une série d'articles sur La Serbie
et l'Autriche s'efforçant de prouver que la soluti de la question ce DEN ON en AE En cherchée dans le cadre de la Monarchie iles Habsbourg. Si l'Entente, par obstination, ne veut pas accepter une telle solution, alors on pourra satisfaire la Serbie en, lui accordant un débouché maritime en Albanie, tandis que le reste des pays serbes, croates et slovènes serait maintenu sous la domination des Habsbourg. C'était la solution proposée par le leader intellectuel de la sozialdémocratie allemande qui fut même, à cause de son «radicalisme », chassé de la rédaction (de pa propre revue,
Or, l'éminent historien politique M. Ernest Denis vient de consacrer à ces articles de Kautskyi une petite étude très intéressante et très instructive, que publie «La Patrie Serbe» dans von numéro du mois da septembre 1917. Nous en détachons les parties se rapportant aux rapports serbo-bulgares exposés par M. Denis, de façon magistrale. :
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Les quelques pages que. Kautskyÿ consacra aux rapports des Bulgares et des
Serbes isont infiniment curieuses, et nous
y retrouvons la manière des polémistes allemands dont les concessions ne sont jamais qu'apparentes et qui, au moment où ils s’inclinent devant les principes, ne songent qu'à assouvir leurs appétits! La casuistique n’a pas de secret pour eux et ils sont passés maîtres dans l’art de solliciter les textes.
Au début de 1912. écrit Kaulsky, la Serbie avait ét6 privée par l'Autriche du prix le plus précieux qu’elle attendait de isa victoire. Elle voulut avoir sa revanche et prétendit s’indemniser aux frais de la Bulgarie, Pure politique de force (reine Machtpolitik), en contradiction avec la démocratie, « Nous avons déjà parlé, ajoutetil plus loin, de l'attaque criminelle de la Serbie contre la Bulgarie ». (Serbiens Sündenfall.)
Or Kautsky nous dit lui-même, page 35: « La Bulgarie refusa loute concession ; elle refusa même d'accepter l'arbitrage du tsar qui avait été prévu dans le traité d'alliance, au cas où des difficultés se produiraient entre les Confédérés... Le 29 juin, l’armée bulgare attaqua l’armée serbe. » Comment la Serbie peut-elle être coupable d'une attaque criminelle contre la Bulgarie, alors qu'elle a propôsé de soumettre le différend À un arbitrage prévu d'avance, accepté contractuellement par les deux parties, et que son armée a été traïtreusement assaïllie ?
On ne comprend pas davantage pourquoi le traité de Bucarest était contraire aux principes démocratiques. La Bulgarie, pendant toute la durée de la campagne contre les Turcs, avait eu la conduite la plus déloyale; elle n'avait tenu aucun de $es engagements; elle avait par ses exigences absurdes et iniques, prolongé inutilement la guerre avec la Porte; pendant les conférences de Londres, elle avait excilé sous main l'Autriche contre les Serbes; elle avait commis la plus ignoble des trahisons en se vendant aux pires ennemis de la race; elle avait oublié qu’elle devait à la Russie son indépendance et à la Serbie ses récents triomphes. Pour punir de sem-
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blables crimes, aucun châtiment n'aurail été trop sévère, et que les Bulgares n'aient pas compris la nécessité et la justice d'une réparation, rien ne prouve. mieux l’avilissement moral où les avait réduils près d'un siècle de pénétration germanique. Actuellement encore, ils rôdent autour des Alliés et mendient l’imbécile mansuétude qu'ils leur supposent, le pourboire qu'ils n’espèrent plus de l'Allemagne. Ils ne sentent pas qu'ils se sont mis au ban de la fourberie, plus peut-être que par leur férocivilisation par leurs mensonges el leur cité et leurs rapines, Tant qu'ils n'auront pas donné des gages de leur. repentir, ils n'ont aucun espoir que l'Entente s'abaisse à négocier avec eux, et, même
après qu’ils se seront soumis, nous aurons
lé droit de les tenir pendant longtemps en quarantaine, avant de leur accorder libre pratique au milieu de l'humanité. Ils auront pour se consoler l'amitié .de l’Allemagne et la sympathie des socialistes dont le cœur nourrit une.inépuisable tendresse pour les Habsbourg et: les Hohenzolern. Kautsky reconnait que, quand les Bulgares parlent de la Macédoine comme d'un pays bulgare, ils faussent outrageusement la réalité Dans (son dernier livre, « Les Langues de l'Europe », M. Meillet dont le jugement fait autorité et qui, par ses amitiés et ses relatäons, serait plutôt disposé à quelques indulgences pour Îa Bulgarie, arrive à la conclusion qu'il est vain de prétendre trancher la question macédonienne d'après des données purement linguistiques. Kaulsky admet de même quil n’y a pas lieu de s'attacher À la frontière philoïogique qu'il est impossible de déterminer avec précision. A quel titre réclame-t-il alors la revision! du traité de Bucarest en faveur des Bulgares? Il se garde bien de nous donner ses raisons, mais on les découvre Sans peine et il faut chercher la cause de la sollicitude que lui témoigne Ferdinand de Cobourg exclusivement dans sa volonté acharnée de maintenir à [l’ Allemagne ane situation prépondérante dans les Balkans. Les quelques concessions que les Bulgares subtilisent aux Alliés les Jaisseront toujours inassouvis, d'abord parce qu'ils. sont insatiables, et ensuite parce que leurs amis les plus aveugles n’oseraïent pas, mal: gré tout, imposer aux Serbes cerlaineis abdications.. Notre vücloire, si longanimes qu'on nous suppose, entraîne nécessaire-
ment la ruine du plan des Bulgares et
ils ne se serviraïent de mos faveurs que pour les retourner contre! nous. Plus d’ailleurs encore que par leurs déceptions, ils seront pour longtemps éloignés des peu ples libres par la‘honte de leurs crimes. On la constaté bien souvent: la réhapilitation du malfaiteur .a pour principal obstacle — non la réprobation persistante de la société, où la haine de dla victime mais le sentiment intolérable de la dégradation dont le coupable ne parvient pas à s'affranchir et qui le cloue à sa misère morale. Le niot que l'on prête à Charles IX dans le Conseil où fut décidé le massacre de la Saint-Barthélémy, est d'une vérité éternelle: « Alors, tuez-les touis, et. qu'il
n'en reste pais un Seul pour me reprocher
ma faute ». Les. Bulgares sont. rivés aux Prussiens par des liens plus forts -que les conventions écrites, par la haine et le mépris qu'ils ont inspiré au monde; marqués au front de la même (souillure, ils n'ont d'autre refuge que de (se rapprocher étroitement. Si Îles. socialistes ont pour ces félons une si extraordinaire ten dresse, cest qu'ils savent que la partie de l’Allemagne dans les Balkans: pe sera pas: perdue, tant que les crimes de Bes complices n’y auront pas subi le chätiment qu'ils méritent, :
Les avocats de Ferdinand de, Cobourg ont plus d’une corde à leur:arc et ils ont des solutions interchangeables: ils reviendraient volontiers à la conception qu'ils soutenaient avant la guerre: tune Macédoine autonome. Il est étrange que les hommes qui. rejettent avec indignation et qn comprendrait mal qu'il en fût autrement — la pensée d'un plébiscite en Alsace, se laissent prendre à une proposition aussi révoltante que l'autonomie de la Ma: cédoine. Personne n’ignore quels ont été depuis 1915 les procédés des gouvernements autrichien et bulgare dans les. provinces balkaniques; üls «ont tenu à honneur de prouver à l'Allemagne qu'ils avaient pron fité de ses leçons et qu'ils étaient en état d'appliquer consciencieusement ses méthodes: üls ont travaillé scientifiquement À lexterminalion de la race serbe; her encore, le « Temps » racontait que des milliers de paysans serbes étaient vendus à terme. comme des esclaves, à la Turquie qui les employait à des travaux insalubres ; combien de milliers sont morts du typhus, du choléra, des fatigues, des coups lit de la faim! Et quand les conseils de guerre et les officiers allemands et bulgares ont, pendant trois ans, supprimé tous ceux qui étaient capables de quelque indépendance, quand ils ont installé leurs colons sur les biens volés, leurs diplomates et leurs chargés d’affaires viennent nous. dire: « Si vous affirmez que la Macédoine n’est pas bulgare, nous nions qu’elle soit serbe; essayons d’un compromis, laissonis-la à &es habitants, accordons-leur l’autonomie ».. En d’autres termes: « Nous avons pilonné le pays assez longtemps pour être sûrs que nous y avons détruit tout élément de vie nationale, nous pour vans maintenant nous retirer sans danger ; dans quelques mois où quelques années les agents que nous y laissons nous rap peïleront, et, en vertu de vos principes, vous Serez. bien forcés d'accepter notre domination ».
« O liberté! disait Mme Roland, que de crimes on commet en ton nom.» Que de sottises on couvre sous le manteau du droit des peuples et du principe des nationalités !
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M. Nicolas Pétrovitch, consul général de Serbie à Genève, ne pouvant remercier personnellement chacun des amis, suisses et'alliés, du peuple serbe, qui lui ont envoyé leurs félicitations à l’occasion de la prise de Belgrade, leur en exprime ici sa plus sincère gratitude. a —_—_EIITTTS-O-O——————————— Société Génevoise d'Edit. et d'Impr. — Genèva
dites. Quant aux constructions servant A des entreprises industrielles, elles figureront plus loin avec leurs installations, sous fa rubrique des fabriques et ateliers. b) Dans la propriété d'Etat, environ 49.800.000 frames, Ce thiffre ne comprend que les édifices et les maisons où sa (rouvaient installées les institutions do l'Etat, des corps autonomes, des communes, des églises et des monastères, les écoles, les hôpitaux, Les établissements thermaux, les prisons et autres édifices: publics, à l'exclusion des fabriques de tabac et d'allumettes, de l'institut militaire et technique de Kragujevalz, dé la poudrière à Obilitchevo et autres installations et ateliers appartenant à l'Etat. Les dommages causés aux bâtiments privés et aux édifices publics atteignent donc un total de 144.800.000 francs. Lorsqu'il s'agit d'immeubles, il convient de faire entrer ligne de compte le loyer perdu par les propriétaires pendant la Période envisagée. Ce dommage peut être évalué à 36.000.000 de francs (9 millions par an). On. dit compter également les pertes subies sous la forme du loyer que les fugitifs, chassés de deur maison, int dû payer à l'étranger pendant l'occupation ‘enuemie, et que nous ‘évaluons À 16.000.000. Ajoutons enfin le prix Cu loyer perdu par les propriétaires des immeubles que l'ennemi a réquisitionnés pour ses besoins @t pour ceux de &es fonctijonnaires et de ses pujets. Ce. dommage est évalué à 28.2000.000 fr! Les dommages subis par la propriété immobilière se. mm tent au total à 500.000.000 de francs.
PROPRIÉTÉ MOBILIÈRE 1. Meubles ei autres objets nécessaires à la vie et au travail Immédiatement après l'occupation de notre pays et aussitôt entré dans nos villages, l'ennemi a entrepris ‘un pillage systématique de la propriété mobilière, pillage apéré tant par les oldats
em
montant de ces dommages peut se répartir comme suit: pour le autorités «ont emporté tout ce qui subsistait et qui avait guelquie mobilier, la vaisselle et les autres objets et ustensiles, dans 44 villes 35.000.000; dans les bourgs 25.000.000; dans les villages 50.000.000: à Belgrade .45,000.000. Si l'on y ajoute, pour Îles maisons plus riches, une valeur différentielle de 12.000.000, ion) arrive au chiffre de 177.000.000 de francs: ‘Les pertes d'ustensiles de cuivre et d'autres objets métalliques représentent 28.000.000; celles outils, de machines aratoires et d'autres objets servant à l'agriculture 42.000.000; enfin les moyens de communication et le imatériel y afférent 18.000.000, soit au total une somme de 265:000.000 de francs. {
&u tront et de l'arrière que par les autorités civiles tel imilifaifiea elles-mêmes. Tout ce qui pouvait être emporté a disparu, motamment tous les tobjets mobiliers d'une certaine valeur, le linge, les vêtements, ete. Ce qu'on ne pouvait pas enlever a été Hés dérioré, brisé ou détruit; les dommages les plus grands sont (ceux subis par les habitations dontles propriétaires s'étaient enfuis devant l'ennemi (1). À
Emin tout ce qui n'a été ni emporté ni détruit, Îles aujuorritiéls. occupantes l'ont réquisitionné dans Ja suite, notamment les divers
dont les marchandises lont &t6 ltransportées dans les
magasins, les
inagasins des autorités ennemies. La partie (du pays occupée par Bulgares surtout, a été pillée dans ‘une telle mesure qu'iaim peut dire qu'elle a été complètement dévastée.
Les dommages causés à la propriété mobilière, soit par le vol, soit par la destruction, peuvent êlre évalués comme suit:
1) Dans la propriété privée
Mobilier, vêtements, linge, chaussures, ustensiles (surtout ceux ce cuivre), etc. Les ustensiles en cuivre étaient très abondants dans nos maisons; la population a dû, pour autant qu'ils n'avaient pas &6 enlevés, les remettre aux autorilés pour des buts militaires d'après les ordonnances officielles. Elle a dû livrer aussi tous les objets métalliques, poignées de portes, ete. Tous les loulils et toutes les machines agricoles ont été pris et emportés, Stur'tiofut, dans la partie du pays occupée par les Bulgares. Des wagons entiers womt transporté en Bulgarie les objeis appartenant aux particuliers, principalement dans la région de la Morava, et les joumaux bulgares l'ont eux-mêmes raconté sans vergogne. Les valeurs en fait de matériel de transport el dé harnachement. Le
2) Dans la propriélé de l'Etat el des corporations
Les objets mobiliers nécessaires au travail des bureaux et des institulions, instruments, bibliothèques et autres installations; sont évalués ainsi: palais royal 6.000.000, parlement 200.000, ministère des affaires étrangères, avec les légations et les consulats en Allemagne, en Autriche-Hongrie,, en Turquie et en Bulgarie 500.000, Conseil d'Etat et Cour des Comptes 200.000, ministère des ‘finantes (1) 2347000, ministère de la guerre (2) 4%440.000, ministère] des travaux publies (1 et 2) 44.955.000, ministère de l'instruction publique et ces cultes 9.685.000, ministère de l'Intérieur (1) avec les corps autonomes, et les institutions communales 15.975.000, minis tère de la justice (1) 2.180.000, ministère de l'Agriculture (1) 1.650.000, en tout 133.132.000 francs.
d) Avec les
42) La valeur pas été: estimée.
institutions accessoires. du musée, des vieux livres et des imanuserits n'a
(1) Une loi bulgare spéciale relative aux biens soi-disant san$l
maître a été la base d'un pillage systématique et général. (A suivre.)