La Serbie
d'insééuriié et à paralyser, ainsi le travail paisible el régulier des populations limitrophes. Enervée et apeurée, la population
s'en prend naturellement au gouvernemient serbe, qu'elle rend responsable de ces irruplions. El c'est justement ce qui esl indispensable au gouvernement bulgare. Malheureusement, comme nous l'avons dit, celte louche activité se pour suil sous l'œil béenveillant des autorités (militaires ilaliennos qui. paironnant le comitadjis bulgares, croient re nforcer les chances de leur politique dans l'Adriatique.
En présence de celte situation, nous ne pouvons plus, encore ‘une fois, mous Contenter de protester, Nous demandons le désarmement complet de la Bulgarie. Ce n'est que désanmiée que celle-ci sera inolffeusive peudant ces lreures graves quie Le monde 5 a verse.
Une pelile gendariner ie destinée à main tenir l'ordre intérieur est graudeument sulfisante. L'argumient qu'on ie invoquer contre un désarmement que l'armée bulgare doil conserver sa force pour détendre le pays conlie la ruée -bolchévisle tombe de soi-mêmé quand on sal que ce sont les poli liciens eux-mêmes qui veu lent se servir de l'arinée bolchéviste, à l'exemple des Magyars. Si la république des soviels magyars s'étail montrée plus viable, nous ass Fétorions actuellement à in bouleversement pareil en Bulgari Mais. à présent, une telle expériene” serait fort coûteuse. en Bulgarie surtout, où le peuple paysan el pell propr iétaire ne se prêterail pas facilement à de telles manœuvres.
Le général Chrétien. qui commande en Bulgarie. x pris déjà diverses mesures. Elles ne paraissent ëlr e cependant que des flemi-mesures. [1 fault désarmer la Bulgarie avant que les politiciens bulgares ne se hasardent à quelque téméraire folie, qui serait funeste pour nous, leurs voisins.
Synmicus.
La Conférence de la paix
Dixième lettre
Paris, 15 avril 1919,
Après des pourparlers laborieux en petit comité, les quatre grandes puissances sont tombées d'accord sur les principales questions conceruant l'Allemagne. Les grandes lignes de la paix, d'une paix raisonnable et modérée sont tracées ; la question du bassin de la Sarre, celle de la rive
gauche du de FAllemagne et celui des réparations, toutes
ces questions essentielles sont résolues en principe, et il ne reste qu'à en fixer les détails. M. Clemenceau l'a déclaré avant-hier à la délégation du parti radical-socialiste français. M. Llyod George le dira demain à Londres, à la Chambre des Communes, et, devançant ses collègues, M. Wilson a publié, ce malin, un communiqué puvement américain disant que les questions qui à déterminer dans la paix avec l'Allemagne ont été amenées si près de la solution définitive qu'on peut accélérer maintenant la rédaction du texte final, et que les Quatre jugeaient le moment venu d'inviter les plénipotentiaires allemands à se rencontrer avec les plénipotentiaires & alliés, à Versailles, le 25 avril.
Le cemmuniqué américain ajoule « qu ‘on espère que les questions concernant directement l'Italie, spécialement la question adriatique, recevraient maintenant une prompte solution. La question adriatique prendra pour Île moment le pas sur d'autres questions ; elle sera étudiée sans discontinuer pour en bâter la solution ». Ce
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communiqué, rompant le secret gardé non seu-
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FEUILLETON
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RÉSUMÉ
des opérations de la bataille du Vardar
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Rbin, le problème du désarmement .
le fond des débals, mas aussi sur Ja procédure adoptée par le Conseil des Quatre, a révélé au public qu'en réalité la question de la paix avec l'Allemagne primait toutes les autres et que c'était à elle que le Conseil des Quatre avait consacré tout son travail qui vient d'aboutir à des solutions pratiques el définitives. Quant à la question adriatique, le communiqué établit qu'elle est à l'étude et qu'elle aura la préférence Sur Loutes les autres questions, de sorte qu'au moment où la paix avec l'Allemagne sera Sur 36 point d'être conclue, les problèmes intéressant
l'Italie se trouveront également résolus. * Le problème adriatique est donc à l'étude. M. Orlando a eu des entrevues avec M. Wilson, el les ItaliensZredoublent d'efforts pour faire prévaloir leur thèse impérialiste. [ls sont, chose curieuse, fortement soulenus par la presse frangaise. Chaque jour, les journaux français, à de lrès rares exceptions, publient des articles agréables à l'Italie, et lorsque, de notre côté, nous envoyous des démentis, des rectifications, des explicalions, nos correspondances sont jetées au ‘panier, Nous avons déjà signalé la tentative italienne de s’accrocher à Ta France et de ea pen
lement sur
les revendications del'lalie sur le même que.celles-de-la-Francer-Ge qui élail incomp heusible pour nous, c'était cette facilité avec laquelle la presse française acceplait la manière de voir des Italiens et réservait aux arguments italiens une hospitalité excessive et des enceuragements manifestes. Pendant longtemps nous avons hésité à y trouver autre chose qu'un égärement passager dû aux infor mations unilatérales et tendencieuses des propagandistes italiens. Mais l'insistance- avec laquelle le « Temps» et quelques autres organes attitrés de l'opinion publique française poursuivent leur campagne en faveur de l'Italie, les allusions plus ou moins ouvertes contre notre union nationale, el d’'aulres indices inquiélanis nous amènent à penser que derrière lout cela il y a un mot d'ordre du Quai d'Orsay. Un article de Gauvain dans les « Débats» a attiré franchement l'attention du publie sur les tendances anti-sudslaves de quelques-uns des facteurs français. Le même jour, le «& Temps » publiait une soi-disant lettre de Zagreb où l'on plaidait en faveur d'une Croatio indépendante et républicaine. La politique de l'Halie telle qu'elle se réflète dans le traité de Londres a toujours compté avec le dualisme serbo-croale et c’est une conception purement italienne de constituer une Serbie et une Croatie en deux Etats indépendants.
Diviser pour régner, ce principe autrichién dirige actuellement la politique de l'Italie.
Il parait que de telles suggestions italiennes auraient trouvé de l’écho auprès de certains personnages politiques français qui ne peuvent pas se faire à l'idée de la dissolution de l'Autriche-Hongrie. Aussi, ces gens ne verraient-ils pas d'un mauvais œil la formation d'une nouvelle puissance danubienne composée de la Croatiayt de la Hongrie, de la Bohème et de A e allemande. On se trouverait. ainsi en présence de combinaisons diplomatiques artificielles qui se briseront noturellement contre la volonté de notre peuple de vivre uni et indé fpendant, mais qui sont très dangereuses pour nous, parce qu'elles peuvent conduire à des solutions inadéquates de la question adriatique. La réalisation de l'unité intégrale de uotre peuple aux trois noms renforccrait naturellement notre cohésion intérieure, tandis que la mutilation de notre corps national conduirait, selon l'espoir de l'Italie, à des tiraillements intérieurs et à des velléités séparatistes.
Partant de ce point de vue-là, l'Italie mel tout en œuvre pour empècher notre union nationale. Elle encourage, appuie et divulgue les tentatives criminelles de gens insensés, tels que Raditch, qui cherchent à creuser, par leurs PMbAlenenRe néfastes, le tombeau de notre union.
On comprendra facilement que la siluation de notre délégation dans une telle atmosphère n'a rien d’enviable. Et lorsque des gens irresponsa-
EE
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5 damiont| aulo: mobiles.
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des de, ide, 20e, 46e, 54e, 65e,
LA SERBIE.
“bles comme l'ancien sec rélaire du
Au cours dus journées du 24 et a ee a ee SUR 25, la 2me armée à capturé en toul 214 soldats, 3 pièces «de moniagne, quelques mitrailleuses., 10 wagons de sel, una quantité énorme de foin et:xle paille et un nombre. considérable que sur de la division du Timok, on, a capluré des prisonniers provenant! 67e et -8de
Comité you-
goslave, le Dr Gmajner, ont encore le toupet de déclarer dans les journaux eroates que Lel membre de la délégation, eomnie M. Trumbitcb, est empêché par ses collègues de travailler, on ne doit pas s'étonner que les Alliés regardent avec un certain scepticisme l'avenir sudslave.
On ne saurait trop insister sur le fait que notre sort est dans nos mains et que nous ne pourrons surmonter toutes les difficultés extérieures que si nous restons unis dans les questions nationales. Le fait que notre union nationale n'es pas encore reconnue devrait nous donner à réfléchir. Ce ne sont pas simplement des complaisances envers l'Italie qui ont empèché la France et Ja Grande-Bretagne de nous reconnaître. I y & quelque chose de plus et tous les patriotes serbes, croates cl sloyènes devraient en Lenir compte.
Actuellement, le probièrne 2 adriatique est entre les mains du président Wilson. Avec l'ftalie, tout contact est pefdu parce que l'Italie n'altache aucune import lance à une amitié, encore moins à une alliance sudslave. L ‘Italie a réussi, pas des manœuvres habiles, à ÉOREOneE Ia diseussion sur Fiume, POULAN si el le district de Gorilza. Tous nos cfloris pour altirer l'attention du public sur l'ensemble du problème et sur le danger d'une solution italienne contre la volonté expresse des populalions slaves intéressées, ont été inutiles, Ja presse française ayant adopté, dans sa majorité, le point de vue italien, In ‘en est pas de même cependant de la presse britannique et américaine qui publie les arguments d'un parti et de l'autre, et qui laissent à leurs lecteurs le soin de juger eux-mêmes.
Le Conseil des Quatre est, lui, suffisamment renseigné, en sorte qu'une solution adopliée dans l'ignorance des f'ails n'est pas à craindre. Dansle désir de fournir encore une preuve de sa bonne volonté, la délégation de notre Royaume a lormellement proposé une consultation des popuJations, estimant que ce mode de règlement serait le plus propre à éviter une injustice el des conflits futurs.
« Nous sommes prêts, déclarent les délégués serbes, dans une lettre adressée à M. Clememenceau, à accepter que le problème de nos frontières avec l'Italie soit résolue par la voie dela consultation directe-des populations intéressées. Nous croyons voir dans ce mode de règlement un moyen propre lout particulièrement à rÉsOUdre les différends entre les pays et les gouvernements amis, comme nous l'avons déjà déclaré dans la séance de la Conférence du 31 janvier, à propos de la délimitation avec la Roumanie dans le Banat ».
La semaine prochaine, nous apportera probablement plus d'indications sur la situation du problème adriatique. Nous nourrissons encore
lement impérialisle, mais cét espoir va en diminuant. En tous cas, ce qu'il faut à notre peuple, c'est du courage et du sang-froid. Les Serbes ne sont pas de ceux qui se laissent écraser par l'injustice des puissants, La politique € de l'Autriche-Hongrie est là pour servir d'avertissement. Ou'on y réfléchisse à Rome!
La section de la a presse de notre délégation a donné au Cercle Français de la presse étrangère un dîner en l'honneur des publicistes et hommes politiques russes. Parmi les invités russes se trouvaient MM. Konovalov, Strouvé, Bourtzev,
Savinkov, Victorov-Toporov, nos anciens amis Sablime et Mandelstamm, el d'autres camarades russes. Nous avons tenu à nous réunir un soir avec les Russes pour teur exprimer notre altachement et notre douleur de vair, à l'extérieur, la Russie écartée du Congrès de la Paix et, à l'intérieur, asservie par une bande criminelle. Après quelques paroles choisies de bienvenue adressées par M. Paul Popovitch, M. TressitchPavitchitch a prononcé un beau discours sur notre fraternité slave etsur l'amour désintéressé qui unit toute Ia natioa serbo-croate-slovène à
pat TN MERS
200.000 kg de ‘hé, La retraite
la direction de marche
régiments bul gar es le
l'espoir que la justice sera plus forte que l'aveu-
Les Anglais ont pris le Bcdles et
la grande Russie. M. Savinkov répondit au nom des Russes. D'autres discoursnon moins inféressants furent prononcés par le professeur: Strouvé et le publiciste Victorov, et par MM. Smodilaka et Vosniak, de la partde notre délégation. Après cette belle manifestation de solidarité serborusse, nous nous sommes séparés plein de confiance en l'avenir du monde slave, PoLirices
L'entrevue Orando-Pashitel
Du « Journal de Genève» du 25 avril 1949.
M, Jovanovileh, ministre du royaume des Serbes, Croales el Slovènes, à Berne, nous éeril :
Dans l'intéressant article : La Politique yougoslave, paru dans le numéro du 6 avril de votre estimé journal, on a affirmé que, «en 1918, M. Balfour avait ménagé entre M. Pachitch et M. Orlando une entrevue qui n'eut aucun résultal, M. Pachitch ayant parlé uniquement de Ja Pr AU. Lcmpso —
‘Permettez-moi; monsieur le Fedaenr c en chef, de rectifier une erreur, de jeter un peu de Eumière sur cette question qui préoccupe actuellement tout homme politique et qui touche à l'un des plus importants problèmes concernant Ia paix future.
Je suis informé de source compétente que M. Pachitch, pendant son enlrevue avec MM. Sonpino et Orlando, a abordé le premier les queslions politiques concernant les relations italoyougoslaves. Ii a dit que les intérêts communs des deux Etals voisins dicleraient à leurs gouvernements une entente dans la question des futures frontières et qu'un manque d'accord à ce sujet constituerait une grande erreur politique, car un tiers en tirerail “indubitablement profil. M. Sonnino répondit qu'il ne pouvait entrer en
discussion que si le gouverne ment serbe dégla-
rail accepter en principe le traité de Londres, à quoi M. Pachilch répliqua qu'il était impossible d'arriver à un accord sur cette base, ce traité ayant été conclu à l'insu ét sans la participation de son gouvernement, et contrairement au principe des nalionalités. Son gouvernement ajouta M. Pachitch — était disposé à entrer en discussion, pour une entente future avec Pltalic, sur la base du principe des nationalités. Gette tentative de M. Pachitch ne réussit pas. M. Orlando avait cependant parlé des questions générales, il s'était montré partisan d’une cutente, mais il déclara que cette queslion entrait dans le domaine du ministre des affaires étrangères:
À maintes reprises notre ministère des affaires étrangères a fait des tentatives pour entrer en conv ersation sérieuse sur la question d’une ëntente qii est dans l'intérêt des deux Etats, «qui ot lutié contre l'oppresseur commun et qui dotvent aussi dans l'avenir collaborer en amis €t bons voisins, mais toutes ces tentatives sont restées vaines jusqu'à aujourd'hui,
Voilà, monsicur le rédacteur en chef, la genèse de cette affaire si épineuse ; il vous est maiatenant possible de juger si un gouvernement nalional peut et a le droit de renier le principe des nationalités au moment mème où ce seul principe, proclamé par l'Entente et par le président Wilson, à mis en mouvement non seulement l'Europe, mais presque le monde entier. Ni M. Pachitch, ni n'importe quel autre homme d'Eéat , responsable de ses actes devant le peuple tout entier n'aurait pu accepler, comme base pour une entente, la proposition de M. Sonnino, car cela aurait équivalu à une trahison des fatérôts du peuple serbo-croate-slovène. Ces lignes démontrent que ce n’est pas à nous qu'il faut faire le reproche d'intransigeance.
Société Génevoise d'Edil. et d'Impr. — Genève
PE CT I AS TG OGM ER TP chant easinet
ne nm
| Lo reste de la division esl em réserve d'armée en arrière te la
division de la Drina!
{le l'ennemi est pi'xipitée.
envoyés au combat pour arrêter notre avance,
les Bulgares, par se retirer désorganisés ;
sur le Dugi Rid; son centre d'instruction était Alexinac. Sur le reste du front,
Des bataillons altemrands finissent, ecmmme le 12e chasseur a opéré
la situation est l& suivante:
de Monastir, l'ennemi à com
mencé À batlre en retraite et les Français sont près d'atteiralre. é la vaïlée de la Semica, refoulant devant eux les arrière-cardes +watimies{ Les Ilaliens sont près de Krutchévo.
26 septembre 1918.
Le malin, à 6 h. 30, la division de cavalerie entre À Kiotchamé,
L du 12e allemand, €e qui révèle de grand Aéordie qui régnait (Septembre 1918) chez l'ennemi. ! = : a
EN 1re.armée. —, À 16 heurës la silnation générale de l'armée j'ignel” Krulchévo-Kopolovo. À l'ouest
(Suite.) À est la suivante: e ani tic La e x u 6 \ “ r © nl AT
) _ La division yougoslave conlinue à avancer vers Sp. … chose 1 Me Sein æ la Morava a ADOrdé, à 5 h. du é malin, la rive sud du Vardar et les éléments avancés de la 3. — La division du Timok poursuil l'attaque destinée à faire gauche ont atteint l'embouchure de la Voidénicka. À 16 heures tomber les défenses de la cote 1117 et de la chaîne du Gradoc. ar régiments sont passés sur la rive gauche et progressent 4 —— La division de la Choumadia esi en mouvement vers |vers la ligne Keseler: Dovo-Seln, À 15 heures, le 30c régiment d'inKrivolak. fanterie, un, groupe d'artillerie et un escadron ont occupé Caske. 5. — 4 17me D. I. C una pas envoyé de comptes rendus. [cote 620. Le der régimient passe la nuit sur Ja rive gauche au
Pour le reste de la journée et dans la nuit, les comptes rendus disent que:
1. — Ja division (de cavalerie, à 20 js franchit la Zletovska Reka, refoulant l'ennemi devant ile sur Kocane, après que la
rolonna principale a chassé les élémen's d'arrière-garde adverse,
dans celle direction. 2, —. A 18 h., l'avantgarde & la droite de la division, Jones
gave 6 5e e rapproche des positions ie la colo 650 au nord de Luboten «æl le gros passe la Kriva Lakavica aux environs de Baltali. La gauche de la division oceupe la ligne Donji-Balvan-Jevezoque Rid-Bogoslovac; l1 réserve est près «le Sup.
3. Au prix de combats acharnés, da division, du Tuuok comquiert 1e points très. importants; cote 1110, Beli-Kamen et les positions” au nord-oues! ct à l'est. C'est seulement par la conquêé de ces points quo nous tievenons définitivement maîtres de
la vallée du Vardar!,
Rien à signaler à la division «(ie a C houmadia el
D. I. C
à la 1e
*
nord du Bova.
A partir de 5 heures, la division de la Drina a continué la poursuite et se dirige sur le Golik et la cole 530. Ayant brisé une, forte résistance de l'ennemi sur la ligue OrahovacDugi Rid, elle rejelle Lennemi sur la ligne Prentes ‘du Venol. Crkvica- sui d'Orizax{Vitanei. L'ennemi à mis en aclion une batterie de campagne, une de monlagne el une l'obusiers. On a pu apercevoir toute Ja journée des éléments ennemis isolés et «désamparés en retraite, vers Vélès. À gauche, on est centré en liaison avec la re brigade de cavalerie française, envoyée dans la direction Prilep: Vas, L'escadron divisonnaire de là division du Danube débouche à 7 h. 30 sur le Dugi Rid et la cote 470. L'ennemi se votre dans la direction. Rakovac-Oyizari. En même temps, deux auto-milrailleuses francaises awrivent ét ouvrent le feu sur l'ennemi en relraile vers Orizari. L'escadron divisionnaire de la division de la Drina à également débouché ici. ‘
À 11 h. 30, le 7e régiment el2 batteries arrivent entre le Han Babuna et Ivor, el. à la. tombée du jour, au nomd de Slari Grad.
isur ie Car-Vrh el
talonnant l'ennem i qui se retire vers Carevo Sélo. Ella envois un nn et des mitrailleuses avec la mission de s'emparer tes pauteurs de Kalimanoi, landis que des patrouilles sont expédiés le Colak.
À 15 heures, les a i
vantgardes ont atteint La ligne Visokoi-Kakies Cuka. L'ennemi, fort d'un bataillon et ayant de Ter ilerie, se regroupe derrière cette ligne.
FE ee se lrouvail à midi sur le front Savary Sa gauche se di inue à avancer dans la direction Kucilak-Terajinéi > bte irige vers la ligne Rajskanski Rid-Sokolace-Kucinaorn?: Fi es es de la division du Timok qui a reçu la mË-. l'action EE a lo flanc et en arrière du Gradec pour facilité” boue die + alliées chargées de s'y installer, occupe cættà la Kriva Lakavi malinée. À midi, le gros de Ja division franchit nb ce js en direction Skorusa. Damjan el Zagorci-T\ on les de re alteignent la Jigne Prnalija-Sumak
sistance, 5e rel a irent en direction de Bukovik. La droite nrrive à
près avoir opposé une faible T4
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se dirigent sur Strumita, 4 passant en territoire bulgare. L'armée française d'Orient tient 108
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