Le métabolisme de sommet

LE MÉTABOLISME DE SOMMET IT

ment de Ja cause de l'action dynamique spécifique, serait celle d’une action dynamique spécifique de même intensité dans le métabolisme de sommet que celle que l’on (trouve dans le métabolisme de base, c'est-à-dire de 30 p. 100 pour les protides, de 19 p. 100 pour les lipides, de 6 p. 100 pour les glucides. Dans ce cas, il ne serait pas difficile de la révéler, au moins dans le cas des protides.

3. On doit envisager également la possibilité que l’action dynamique spécifique n’atteint nullement le métabolisme de sommet, c’est-à-dire que la puissance thermogénétique est indépendante de la nature du potentiel alimentaire. Dans ce cas, la chaleur complémentaire du métabolisme de sommet serait diminuée de la

valeur dont est augmenté le métabolisme de base par l’action

dynamique spécifique. L’organisme tendrait vers une constance de production calorique maxima, quelle que fût la nature du Ï > C

potentiel alimentaire dont il dispose.

h. Enfin, il reste la possibilité que la nature du potentiel alimentaire ait une influence particulière sur Ja valeur du métabo= lisme de sommet, différente de l’action dynamique spécifique que nous révèle le métabolisme de base.

Remarquons enfin que l’action dynamique spécifique s’efface le Jone de la marge de la thermogenèse, ainsi que l'a montré Rubner (4), l’extra-chaleur de cette action se substituant à Ja chaleur complémentaire. Maïs il en est autrement à la limite supérieure de cette marge, lorsque toute la chaleur complémentaire. est déployée : Paction dynamique spécifique doit théoriquement reparaître, si elle n'a pas été masquée par quelque facteur de sens contraire, comme il a été envisagé plus haut,

Combuslible fournissant la chaleur complémentaire, — Lorsque Porganisme ajoute à sa dépense d'entretien de la chaleur com, plémentaire, aux dépens de quels potentiels énergétiques la produit-19 Il y a lieu d'étudier la nature du combustible dans le jeûne et pour des apports alimentaires différents, servant à la calorification supplémentaire de différente intensité, allant jusqu'au métabolisme de sommet. |

Terroine et H. Sorg-Matter (8) ont trouvé chez la Souris et le Pigeon que la dépense azotée endogène, à diverses températures, augmente proportionnellement avec la dépense énergétique. Par conséquent, une partie de la chaleur complémentaire est produite aux dépens des protides, le reste aux dépens des réserves ternaires. En serait-il de même si les animaux, au lieu d'êlre À jeun, recevaient le supplément de calories sous forme de potentiels altnientaires ternaires

L'étude du quotient respiratoire, lorsque l’organisme passe de lu neutralité thermique à des conditions lobligeant4-déployet .

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