Le métabolisme de sommet

12 LE MÉTABOLISME DE SOMVET

urié patlie où la tôtalité de st marge de thermogenèse, dans différentes conditions de nuirition, nous donne quelques indications Sur Ja nature du combustible fournissant la chaleur complémiéntäire. Les résultats obténius à ce sujet chez le Canard par Giaja et Males (15) se résuiient comme il suit, 1° Chez l’animal bien nourri, de sorte Que ses réserves de glycogène soient abondantes, à jeun juste autant qu’il est nécessaire pour Süuppriner tout apport alimentaire, la valeur du quotiént respiratoire baisse régulièrement lorsque “po passe de la température de la neutralité thermique à une température plus basse, pour dugnienter lorsqu'on revient à là première. Par conséquent, l’Augriientation de li valeur du quotient respiratoire que devrait produire là Conibustion du sücre provenant des réserves glycogétiiques, est plus qüe cômipetisée par l’effet contraire de là combustion des protidés et dés lipides. Lä valeur du quotient reSpiralüire dans le métabolisme de sommet de l'animal à jeun, mais ayant ses réserves SINeGa qi au complet, parle en fâvéur du rôle prépondérit des lipides dès le début de la production de la chaleur conipléthetilaire. Aù cours de linanilion de 16 à 60 lettres, où Le Senye le mème faits >° Lorsque l’ätiimal Est 8a4vé de féculetits, de SÜrte que son quotient respiratoire est Écal ét mème el à l'Unié, le déploiement, même coriplet, de la madrge de la ihernogenèsé n'abaisse que faiblerhent la valeur du quotient respiraloiré, dé sorte que lon peut conclure que, lorsque l'appareil diétéslil dévérse du sucre en abondance dañs la cireulation, ce combustible couvre a esque complètement lé besoin de la thernogenèse maxima. 3° Datis l'alimentation ädipeuse où carnée, létude du quotient desire parle en faveur de l'utilisation prépondérante des produits dé là digestion pour là produetion de là chaleur complémentaire.

Si l'on réfléchit qué da production d’une partie au moins de la chaleur coinplétnentaine peut êtré une fonction continue de durée prolongée, on dévait s'attendre à ce qu'elle püt utiliser n'importe lequel des potentiéls alimentaires que Palthentattun lui apporte. Par contre, on pouvait Satlendre À voir jouer un rôle prépondéfratit 4u diycogène dans 1eS prérhiers instänts de production de chaleur compléments dite par l’orsanisine ayant ses TÉSCTMNES intactes, et à voir le quotient resbiraätoire augmenter de valeur, par analogie avec Ce qui est admis pour Î6 travail miusculäire. Si l’on rapproche ces résulläts dés valeurs obtétiues pour 16 métabolisitie dé Sommet des animaux dilféreminent alimentés, valeurs que nous avons précédemment exposées, on arrive à la cüneltusion que là falure du tombuslible n'a pas, ét fout cas, brie inflhence marquée sur la valeur du métabolisme de somiiet, On