Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

120 HYMNES D'une longue stérilité à Il avoit réparé la honte; C’est moi qui l’avois allaité, C’est toi qui dois m’en rendre compte.

D'une couronne funéraire Qui parera mes cheveux blancs, Et quel appui, dans mes vieux ans, Me rendra le sort noïns contraire ? Quand moi-même dans le tombeau Je me verrai prête à descendre, Quelle main, d’un malheur nouveau , Préservera ma froide cendre ?

Viens calmer ma douleur amère, O mon fils! viens sécher mespleurs; ( Sous le poids affreux des malheurs, Assez long-temps gémit taïmère. Voœux superflus ! cris impuissans ! : A quoi bon percer les ténèbres? Peut-il entendre mes accens Du foud des abîmes funèbres ?

C’est ainsi qu’une Sunamite (1) De son fils pleuroit le trépas; D'une mère dans ses éclats La douleur n’a point de limite.

APR NE PAP EE NEO RER TS RE

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(1) J'aitiré cet exemple de l’ancien testament , afin de diversifier les sujets ; il renferme d’ailleursune excellente morale .