Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

EL'V TO: DES 194 Un prophète , aimé du Seigneur, Entend ses vœux/etsa prière, Et par l'aurore du bonheur

Frappe sa monrante paupière.

S’approchant du fils, ille touche, Il le fixe d’un œil serein; De la mainilserre sa main, Pose la bouche sur sa bouche. O miracle avoué des cieux ! L'enfant renaît ; son œil s’arrête, Avec un souris gracieux + Sur sa mère et sur le prophète:

Le voyez-vous daus son ivresse, Qu'à peine je penx concevoir, Passer dn sombre désespoir Aux doux transports de l’alégresse ? O touchante maternité,

Quel est ton ascendant suprême ? Pour le peindre avec vérité, I faudroit Péprouver soi-même.

Françaises qui versez des larmes Sur vos fils morts au champ d'honneur, Si quelque envoyé du Seigneur Ne vient point calmer vos alarmes ». Ah! par d’inatiles efforts. " Gardez-vous de ternir leur gloire; Ces enfans, que vous croyez morts,

« Ressusciteront dans l’histoire.

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