Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
C7) Obsertéz que nous n "av O RS pas mé
enter nos impôts, et que nos lassighats 0
une hipothèque réélletét éxéellente, “tandis du votre (papièr monñôié ‘n'en à äücune 18 qu'il n'a cireulénusqu'à | présent que pat une os fündée:sûr! l'erreur sur li ignorance où sont les Afñ gli sd” ra A tx état de leurs finances, -etquenfint le. érédit” factice ? ‘de votre banque, de Ligitdres cessera dés j' instant que les Anglais, pridèns et sages Vemprésieront | d'en retirer. léür 'nlméraire ?"dont'ils" Sont, assurés" de dou bler l'inréré ci? éaife Dlaatt. RÉAL domaines. natiônaük. : anoi ist.euou.inemom'sà 208D, Le :
ANoUS davoHs) Contre Vous , Sie? detre ne añtel: atiie ta laquelté vous ne pouvez op o poser que des : moyens! insuffisans ; ; omalgr E VOUS > nrälèré® Vos phtices ? ,“Hous AS EU triütise® devos mécontens , avec, notre déclaratiôn ‘des droits de Horde > ; “ec par les Vérités les plis fondrôyancés pour Votre déspotisme % etcroyez que cérte houvelle force ent? puissaiment celle dé os Bômbes ! de n no$. bouilét#oFoubés ét ‘dé nbé ‘kabres: Wire ane
9 23 derons etnous offrirons tout- hic Riez
Añlais, rh ECOBsai NN Tr landaïs 16 és Rat. dei l'ämiñé 3 déjà Hs 1 $ dnmes assurés! qu'un. trèslértiid a Lee gl nue Den disposés en,
notre earent, que nous le sommes pur eux visdO B