Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
«G43) | de tant, d'lustrés vicüimeside:votre styranniey crier, vengeance, à : leurs lenfans,, à leurs >comx patiotes, et ceux-ci,s'yengagerc par lés RTE les.plus terribles? .Croyezrqué les Hoilan inseruits- par-une troplongüe; et trop. us expérience ,: des. dangers d'une autorité héré= ditaire, » SOUS. quelq ue ;: titre -que ce-puisserêtrel, ne remettront d'épée dans le. fourreau; quiaprès avoir détruit ce fléau , et qu'après s'être assurés r1ders :Fimpossibilité: de: jamais levrevoir ché, eux N° ‘espérezs34 Monseigneurss raucune grace aucuh succès de l'hypocrisie, vdedæ: four berië , LS vos menatés ride” vo larmes 2 g rièn 1étpast empêcher Wotfe périe , a Voi£ attendez. “l'arrit ét 248% ên ‘nés légions : PRE Vo us laissera = 2 bonl la*libérté °de fuir éémime Votre
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