Marat inconnu : l' homme privé, le médecin, le savant : d'après des documents nouveaux et inédits

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Le Journal de Liltéralure, des Sciences et des Arts (1), le Journal de Physique de l'abbé Rozier (2) et Mongez, le recueil le plus scientifique du temps, et celui qui comptait, parmi ses rédacteurs, les illustrations de la science, lui consacrèrent les articles les plus élogieux.

L'Atmanach physico-économique, le Courrier Lilléraire mirent, en bonne place, l'analyse de son ouvrage.

Le Mercure de France (3), le Journal Encyclopédique (4), lui réservèrent une partie de leurs colonnes.

A l'étranger, le Chou Review, journal anglais (5), le Courrier de l'Europe (6) prétérent le concours de leur grande publicité au livre du physicien français.

Des professeurs de Stockholm et de Leipas firent le voyage de Paris pour assister aux expériences annoncées par Marat.

Un homme du plus grand mérite, M. Paté, instituteur des neveux de l’archevèque de Paris,

(1) V. le Journal de Liütéra'ure, Sciences et Arts, t. VI, 1780, pp. 192-204 ; et t. VI, 1780, pp. 217-258.

(2) V. Observations sur la physique, ete, t. I, 459; et t. XVII, 178], pp. 317 et suiv.

(3) De janvier 1781.

(4) D'août 1782.

(5) V. Chévremont. Esprit politique de Marat, t. I, p. 433.

(6) Numéros du 15 mars et du 3 mai 1782,