Orateurs et tribuns 1789-1794

TABLE,

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III. — L'ESPRIT DES ORATEURS DE LA GIRONDE.

La Légende des Girondins. — Engouement universel. Mot de Royer-Collard à Odilon Barrot. — Ponsard, madame Colet, — La nouvelle école historique. — Edmond Biré, La vérité sur les Girondins : jusqu’au 10 Août, ils ont été les émules des plus ardents Jacobins. — Vergniaud : sa naïveté politique ; la paresse était son Armide. — Une définition du velo. — Madame Roland. — Les Girondins et la guerre. — Une politique de boudoir. — Isnard, sorte de Numa Roumestan de la tribune révolutionnaire. Barbaroux et ses collègues à Caen. — Réveries littéraires de Lamartine. — Lanjuinais n’est pas un girondin : Fais décréter que je suis bœuf. — Conversation de Lanjuinais avec Napoléon. — Grand homme et héros . . . .

JEAN-PIERRE BRISSOT. — L'homme d'État de la Gironde, Brissot. — Trait de machiayélisme. — J ugements de Dumont, de madame Roland, de Beugnot sur Brissot. — Une tragédie à peindre : Lemierre. — Mémoires de Brissot. — Vengeance de Dugazon. — De quoi vous plaignez-vous ? Est-ce qu’il n’est pas mort? — Portrait de Marat. — La bohème littéraire au xvirre siècle. Bernardin de Saint-Pierre; ses comparaisons politiques ; l’anecdote du petit chien. — La reconnaissance est la fleur des tombeaux. — Comment Johnson entendait légalité. .

LE MARQUIS DE CONDORGETr. — Le mouton enragé, le volcan couvert de neige. — Théorie de l’éloquence parlementaire. — Son éducation. — L'académie des paroles et l'académie des choses. — Panégyriques et calomnies. — Belle attitude de Condorcet après le 31 mai. — L'envers de la médaille. — Haine de Condorcet contre Necker; apothéose du bonnet rouge ; s0phismes métaphysiques. — Héroïsme de madame Vernet. — Un mot sublime.

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