Projet d'une loi : portant défense d'apprendere à lire aux femmes

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« titre de bel esprit et de philosophe, que lors« qu'elles cessèrent de prétendre aux noms plus « respectables de mères tendres et d'épouses fi« dèles....., etc.

« Les dames romaines ne commencèrent à « cultiver les lettres que dans le temps de leur

« décadence. »

P. S. Les Chinoises sont aussi peu curieuses ‘ de littérature et d'histoire que les Européennes de morale et d'algèbre : leur domestique est leur univers ; plus elles s'occupent à le bien gouver—

ner, plus elles sont heureuses et estimées. On aï-

merait presque autantleur voir prendre un sabre

qu'un pinceau (c'est-à-dire une plume) : pour leur en ôter l'envie, on ne leur apprend pas à lire. (Mémoires Chinois, in-49, L. 1, p. 12.)

ENCORE ENE PETITE CITATION.

. L'étude des langues et des connais-

« sances relevées. loin de rendre une femme