Theobald Bacher : ein elsässischer Diplomat im Dienste Frankreichs (1748-1813)

ausführlich erging. Daneben feſſelten ihn die allgemeinen Züge der Zeit, die Fortſchritte der Revolution und der antirevolutionären Beſtrebungen in Deutſchland. Es iſ für ihn ſehr charakteriſtiſch, daß er ſih dabei ſtets “ bemühte, das Heute auf das Geſtern zurüczuführen, aus der Geſchichte zu erläutern, was er zu beobachten meinte.

Von allen Seiten war 1797 der Friede begrüßt und waren neue Hoffnungen für das Reich gefaßt worden. Auch in Bachers Berichten aus den erſten Tagen des Kongreſſes leſen wir davon. „J'ai remarqué qu’on étoit généralement d’accord sur la nécessìté de régénerer la constitution Germanique, dont l’édifice gothique et vermoulu ne peut plus subsister longtemps, quand bien même la paix de (Campo formio n’auroit pas amené un nouvel ordre des choses. On est persuadé que lorsque la Diette de Ratisbonne formera un corps vraiment réprésentatif, qui aura un Centre d’unité et d’action, l’Empire pourra regagner en force et en energie, ce qu’il aura perdu en étendue de Territoire.“!) Die uneingewethten Stände glaubten noch, daß der Kongreß nur kurze Zeit dauern werde, weil Öſterreich mit Frankreih und Preußen gemeinſam vorgehen und fertige Säkularijationspläne dem Kongreſſe zur Billigung vorlegen werde. „On s'attend,“ ſchrieb Bacher eine Woche ſpäter, „en Allemagne à voir la France, l’Autriche et la Prusse produire incessamment le Plan qui doit fixer la nouvelle destinée de la plupart des Princes et Etats de l’Empire par la Traité de la paix définitive auquel la Députation de la Diette de Ratisbonne qui est à Rastadt ne sera vraisemblablement appelée à donner son assentiment que pour ne pas trop ouvertement blesser les formes et pour lui ménager aux yeux du Public une espèce de co-opération.“?) Bacher ſelbſt teilte dieſe Anſchauungsweiſe damals. „Au Congrès de Baden,“ zitierte er aus dem Geſchichtsſchreiber Torcy, „on ne fit autre chose que de rendre le Traité de Rastadt solennel et de le revêtir des formalités qui lui manquaient. Aujourd’hui,“ fügte er hinzu, „Campo formio est ce qui a été alors Rastadt, et Rastadt paroit avoir remplacé Baden, puisque le Congrès qui s’y tient ne semble être destiné qu’à Tlexécution de la paix transalpine; mais sans faire des conjectures sur ce que le tems nous dévoilera, on va continuer l’analyse des rapports que la Députation de l’Empire à Rastadt a envoyés à la Diette, et des discussions et délibérations auxquelles ils ont donné lienu.“?)

9 Bacher an Talleyrand, M. A. 23. niv. VI. Strbg. Kop. 1, 9. Me fd „1 b, Nürnberg, 30. niv. VI. Strbg. Kop. 1, 14. Talleyrand, M. A. nah Delacroix 18. VII. 97. mit kurzer Unterbrechu1 (1799 Reinhard) — 17. VI. 1807. Masson Kap. 11 und 12.

2) Reichstagsbericht Bachers 2—11. I. 1798. Strbg. Kop. 1.