Un hiver à Paris sous le Consulat (1802-1803) d'après les lettres de J.-F. Reichardt

SOUS LE CONSULAT. 55

à qui le rôle de la « meunière candide » convenait il y a une douzaine d'années, au théâtre de Prague, est devenue trop forte et pesante; mais elle ne se laisse pas enlever son emploi de prima donna! Son chant, si agréable qu'il puisse être, n’a plus ni le piquant ni l'accent requis pour animer cette musique délicate. Elle ne dit bien que les mélodies naïves.