Étude des ferments des glucosides et des hydrates de carbonne chez les mollusques et chez les crustacés
EAN
approfondie de Bourquelot et Hérissey. Lorsqu'on remplace, sous une culture de cette Mucédinée, le liquide nutrrtif par de l'eau distillée, l'Asperoillus secrète de nombreux ferments : on obtient ainsi ce que les deux auteurs précédents nomment liquide fermentaire d'Aspercillus. On a trouvé dans ce liquide jermentarire presque lous les ferments des hydrates de carbone et des olucosides, connus jusqu'à présent.
En ce qui concerne les animaux, il n'y a que les animaux supérieurs, les Mammifères surtout, qui ont élé l’objet de recherches de différents ferments. On a constaté que le nombre de ferments des hydrates de carbone était restreint chez ces animaux. À part l'amidon, le mallose, le glycogène, le saccharose, le lactose et le tréhalose, aucun autre hydrate de carbone n'a pu être dédoublé jusqu'à present par les ferments du Chien.
Quant aux animaux inférieurs ils n'avatent élé l'objel que de recherches très peu nombreuses. On ignorait donc st chez eux les ferments ne sont pas plus nombreux que chez les animaux supérieurs ou au contraire s'ils se trouvent en nombre aussi considérable que chez certains végétaux inférieurs. À cetle question nous donnons une réponse nelle : Il existe de nombreuses activités drastasiques chez certains animaux inférieurs. Dans le suc divestif d'Escar-
got (Helix pomatia) par exemple, nous avons trouvé des