Анали Правног факултета у Београду

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АНАЛИ ПРАВНОГ ФАКУЛТЕТА

goslave, mais uniquement à condition que les époux n’aient pas d’enfants mineurs (issus de leur mariage) et des enfants qui leurs sont assimilés. En partant du fait que par le divorce les intérêts des enfants sont mis en question, l’auteur considère que l’intervention de la société doit être maintenue en cas de divorce des époux qui ont des enfants, afin que seules les unions conjugales puissent être dissoutes qui ne laissent aucun espoir que les rapports entre les époux seront rendus meilleurs. Au contraire pour les unions conjugales sans enfants mineurs, il est difficile de soutenir la conception que les époux ne peuvent pas divorcer par consentement mutuel, car de cette façon on s’oppose aux exigences journalières des conjoints qui désirent garder leur intime.