Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

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parvenir à communiquer avec toutes les mations, avec cette prépondérance que les frichesses et la puissance d’un Empire res+pecté donnent toujours ; l'adresse et les savantes spéculations de nos négocians, diri‘gées par nos traités commerciaux , nOUS ‘“aisoient des tributaires partout où les besoins , les goûts, les caprices et le luxe se -manifestoient .........que les temps sont Chanpés L1 4:

La France possède dans.ce moment avec ses conquêtes, une population de 50 milbons d'individus, elle ; ouit de 95 à 100 milons d’arpensd’excellentesterresenculture, elle peut trouver, dans ses prapres moyens de quoi rétablir le désordre de.ses finances, la chance des événemens est entièrement de son côté.

À la païx, l’expérience du malheur rendra cé peuple plus sage, plus réfléchi # le desir de réparer ses pertes le portera au commerce. La morgue de la noblesse n’existe plus parmi eux ;leurmarineprendra un essor utile dans les quatre parties du monde, et les productions de leur agricul-

ure leur. en fourniront les moyens.

Mais nous, mon cher Tom, accablés sous