Considérations sur l'état présent des choses, relativement à politique, aux armée, aux ésperances que lon peux fonder sur une paix prochaine avec la France, etc.
57 des relations où j'ai Puifé autant de Iumié. res fur l’art qu'ils profeffent, que de réfpè& pour leurs perfonnes ; & f}/sdans linterval de ces deux Campagnes, ‘une négociation importante.& fecrèête avec le Miniftére d’une troifiéme puiflance, m'a inis à portée ‘de faifir quelques ‘uns des fils, fouvent trop déliés, de la politique des :cabinèts 3 j'ofe croi. re que les. obfervations que .je hafarde ne
paroîtront pas dénuées de toute éfpéce de jufteffe ; dumoins Peut-on être {ur que ni mon intérêt, ni la réconnoiffance n’ont influé en rien fur mes opinions 5 j'ai fait avec plaifir le facrifice de lun, &, quant à l’autre... : . je n'ai jamais crû que l'ingratitude difpenfät de la jnflice. Après avoir fervi, de mon mieux, une caufe, qui eft devenue celle de toutes les fociétés ; lorfque des revers, qu'aucune prudance humaine ne Pouvoit prévoir, me réduifent. à une inac-
tion qui borne toutes mes facultés à réfé.