La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

ét

primitivement écrit en chef et qu’il a rectifié de sa main, — car C’est la même main et la même plume, — eu transformant tant bien que mal ses lettres, pour arriver ‘ à écrire en desus ! Encore, si dans son jargon il avait écrit en dessus, comme plus bas, — ou en dessous, pour donner un sens |

En somme, nous avons de par cette belle

pièce, « nr catlinau, l'un des « command. les

à

armées catholiques etroyalistes », — nomé, « toutes les voix s’étant portée sur lui, — géné-

« ral de l’armée, — un général en desus de

qui tout le mondre prenderoit l’ordre! » À d’autres, s’il s’en trouve, la discussion de ce fatras !

Il est inutile, je crois, de réfuter encore une fois ici cette déclaration que « Cathelineau à « commencé la guerre. » Elle ne ferait qu’attester un faux, démontré faux. En juin 1793, jamais Bonchamps, ni Stofflet, ni d’Elbée, pour ne citer

que nos Angevins — et ceux-là qui ont réelle-

(IL s'est appliqué à y arriver sans ratures par addition de letires ou de jambages, qui transforment et déforment le mot sans y rien supprimer.