La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

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dont le livre, pour cette époque au moins, n’est qu'un honteux gâchis de littérature, renvoie à dix jours plus tard. au 27 mars, mercredi saint, le licenciement, et dès la même page, « cepen« dant', » comme il dit, il raconte le combat du Vendredi Saint.

A la page suivante : «les troupes parcourent le « bocage dans toutes les directions. Z! n’y a « plus trace de révolte, pas même vestige des

« triomphes remportés la veille. Le pays est

« calme ; mais immédiatement après... . » Une vraie féerie à compartiments ! — It Muret, I, 89,

après la prise de Chalonnes, lui aussi : « La fête « de Pâques approchait. Les paysans avaient « grande envie de revoir leurs foyers et de faire « leurs dévotions librement dans l’église de leur « paroisse. Le rassemblement fut dissous et cha« cun retourna chez soi, sauf à se réunir après «les fêtes! » et il raconte immédiatement le combat du 29 mars! — Et tous ainsi l’un après l'autre, abrégés ou compilations, — jusqu’au

dernier des scribes, qui, après deux ou trois

! Le 29 et non le 30, comme il dit, p. 46.