La Presse libre selon les principes de 1789

LIBRE. 153 layette trainé dans les eachots pour avoir ditee mot sublime et vrai: L'insurrection du peuple "contre le despotisme est le plus saint des devoirs! »

Done, «vous ferez une loi ferme et prudente, qui consacre la liberté en réprimant la licence ; cetie loi est le flambeau qui peut seul éclairer les juges des délits nationaux’, et vous seuls ordonnerez de l’attendre. »

Placée sur ce terrain, à discussion eùt pu aboutir à quelque chose.

Mais voici qu'en opposition à C'EeN Esr FArr DE NOUS | Dubois-Crancé cite un rapport du Comité des Recherches de la ville de Paris, qui soulève des réelamations de la part du Comité des Recherches de l’Assemblée, et.attire les orateurs sur le fait de la trahison du ministre de Saint-Priest.

Riauzat dénonce à son tour un Tableau de la prétendue Assemblée nationale el réclame l'institution d’un tribunal destiné à juger les crimes de lèse-nation, — Personne n'ose parler des délits de presse !

Au. milieu du tumulte, que provoque Robespierre en demandant l’ordre du jour pur et:simple, Pétion propose d'expliquer mieux le décret: du 31 : même d'en ordonner Ja suspension jusqu'à la mise en activité de jury. Toulongeon appuie.eette motion, ainsi que Charles de Lameth,: qui n'hésite pas à