Un hiver à Paris sous le Consulat (1802-1803) d'après les lettres de J.-F. Reichardt

AVANT-PROPOS, xI juger trop fréquentes, mais qui ont un intérêt particulier, parce qu'elles émanent d’un compositeur réputé de son temps, directeur de l'Opéra d'une capitale et critique érudit.

Tous ceux qui liront ces lettres en apprécieront la valeur et reconnaîtront que Reichardt est un homme qui voit tout et qui voit bien.

Son œuvre, pleine de jugement, d'observations originales, de portraits pris sur le vif et de précieux détails, peut passer pour une suite du Nouveau Tableau de Paris de Mercier, qui renseigne si bien sur l'époque qui à précédé le Consulat.